Ce qui excite les astrobiologistes cette fois, c’est qu’alors qu’on avait détecté certains de ces six éléments sur ces autres mondes glacés, c’est la première fois, avec Encelade, qu’on les trouve tous les six, le phosphore étant jusqu’ici l’ingrédient manquant.
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Pour l’instant, on ne connaît l’existence que de deux planètes dans ce système solaire, mais d’autres mondes pourraient être identifiés par la suite, lors d’autres observations similaires effectuées par l’équipe de recherche.
Le Soleil suit par ailleurs des cycles de 11 ans. À leur sommet, on assiste à davantage d’éruptions, et on observe davantage de trous coronaux qui, au lieu d’être concentrés aux pôles, peuvent apparaître n’importe où.
« Nous sommes heureux de voir que les changements n’augmentent pas de façon exponentielle, considérant le fait que nous aurons éventuellement des gens voyageant dans l’espace pendant des périodes plus longues. »
On peut passer sous silence les visuels génériques pour les personnages, le mauvais doublage, ou encore les incongruités avec les armes. Ce qui rebute fortement, ce sont ces contrôles et ces mécaniques brouillons, parfois sans queue ni tête. Attendons la suite.
« Si vous avez une planète de la taille de la Terre, avec davantage de carbone que sur notre monde, qu’est-ce que ça veut dire pour la question de l’habitabilité? Nous ne le savons pas, et c’est cela qui est excitant! »
L’engin serait aussi juste assez gros pour aller porter des propres satellites en orbite. En fait, ceux qui l’ont suivi à la trace ont rapporté plusieurs manoeuvres pendant ses neuf mois en orbite, et une opération qui pourrait être le largage et la capture d’un objet, possiblement pour simuler la capture d’un satellite.
La possibilité qu’il y en ait des milliers d’autres autour de Jupiter et de Saturne, avancée par les deux équipes d’astronomes qui ont découvert séparément ces objets ces dernières années, ouvre la porte à une redéfinition du mot « lune ».
Les chercheurs ont découvert ce qui pourrait être une source de chaleur au sein du manteau rocheux des lunes, qui entraîne la production de liquides, et qui aiderait un océan à maintenir un environnement tiède. Le tout pourrait favoriser une colonisation humaine.
Dans l’immédiat, le succès du SLS et d’Orion laisse donc croire que, contrairement aux annonces officielles de la NASA, il se pourrait qu’Artemis 3 repose sur les engins de la NASA, plutôt que sur ceux de SpaceX, en dépit du contrat de 2,9 milliards de dollars signé avec cette dernière.