Browsing: dvd

Taylor Sheridan est un scénariste hors pair qui crée des ambiances et des atmosphères angoissantes aussi humaines qu’insoutenables, ce, comme personne. En s’entichant cette fois du rôle de réalisateur également, il se perd dans ses propres méandres et offre une première déception, de quoi attraper Wind River chez soi pour l’apprécier sans trop s’envahir de ses nombreuses failles.

Le 19 août dernier, un spectacle symphonique de grande ampleur réunissait plus de 400 musiciens et des vedettes, en voulez-vous, en voilà. L’Orchestre symphonique de McGill, l’Orchestre métropolitain et l’Orchestre symphonique de Montréal, ont interprété les arrangements de Simon Leclerc, sous sa direction, et ont accompagné une multitude de grands noms tels que Daniel Bélanger, Alain Lefèvre, Rufus Wainwright, Diane Dufresne, Elisapie, Cœur de pirate, Patrick Watson et Marie-Josée Lord.

Beau petit travail de famille fortement personnel que Emmanuel Bilodeau offre et s’offre en ajoutant une nouvelle corde à son arc de possibilités en s’appropriant le métier d’humoriste. Le résultat, plutôt inégal, sera reçu de façon différente selon les publics, tout dépendant l’affection et la tolérance qu’on accorde au comédien, comme lui-même le prévient dans son introduction sur le DVD.

Vilipendé à cause des attentes que son volet précédent a avec surprise créées, Guardians of the Galaxy Vol. 2 n’a probablement pas autant satisfait que tous s’y attendait. Néanmoins, le plus récent Marvel à être disponible en DVD, à défaut d’être trop long, s’avère être un blockbuster survitaminé qui divertit à défaut d’abuser sur le plan émotionnel, un petit ajout au premier film dont on n’avait pas nécessairement besoin.

Koreeda est l’un des cinéastes contemporains essentiels et l’un des grands représentants du cinéma japonais d’hier et d’aujourd’hui, transcendant les époques en gardant la famille comme point d’ancrage et de déroute. Son récent After the Storm est une petite merveille, et peut-être l’un de ses films les plus drôles jusqu’à présent. L’occasion idéale de le voir ou le revoir avec sa sortie en DVD.

Le problème avec Aftermath, c’est que tout dégénère lentement, mais sûrement. Poussant une idée intéressante en un bordel de ridicule qui ne rend pas justice aux nombreux talents qu’on a voulu exploiter. Cela rend l’écoute intrigante, mais pas nécessairement gagnante pour ceux qui oseront insérer le DVD dans un lecteur.

Drôle de foutoir que ce Once Upon a Time in Venice qui ne montre aucun scrupule à exhiber les différents grands films qu’il tente de pasticher, sans jamais parvenir à camoufler à quel point il est un mauvais film. Toutefois, c’est aussi la première fois depuis longtemps où l’on voit Bruce Willis avoir autant de plaisir, ce, encore une fois, un peu à nos dépens.