Hugo Prévost et Kevin Laforest découvrent ce drame scénarisé et réalisé par Xavier Legrand qui réserve tout une surprise à son protagoniste…
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The Bikeriders n’en demeure pas moins une œuvre soignée, forte et qui hypnotise à ses heures. Menée par un cinéaste plus que talentueux, lui-même épaulé par une armada de personnes au talent tout autant recommandable. Un nouveau classique? Peut-être pas. Mais une œuvre de grande qualité qui mérite certainement qu’on s’y attarde, ce qui n’est pas toujours donné, de nos jours.
Hugo et Kevin se retrouvent coincés dans une oeuvre évoquant le mal-être de l’adolescence et l’oppression des banlieues mornes et ennuyeuses.
Proposition surprenante, mais peut-être sous une forme réservée à un public niché, The Feeling That the Time for Doing Something Has Passed est un film qui ose explorer un aspect peu ou pas abordé à l’écran: pas une existence terrible, pas une existence merveilleuse, mais une existence beige, dont il est souvent bien dur de s’extraire.
Damaged a beaucoup d’ambition, cherche à évoquer Se7en sans y parvenir, avec un duo d’acteurs de renommée mondiale dont la présence est inutile. Déception, vous dites?
Hugo Prévost et Kevin Laforest visitent ce monde à mi-chemin entre la vie et la mort. L’exercice cinématographique en vaut-il la peine?
Bijou de style et d’inventivité, Godzilla Minus One est la preuve qu’il est possible de faire un grand, voire un très grand film, sans engloutir une fortune dans le procédé. Il suffit d’avoir de bonnes idées et de savoir les transposer sur grand écran.
Hugo Prévost et Kevin Laforest découvrent ce qui est autant une lettre d’amour aux classiques du genre qu’un projet particulièrement bien ficelé.
Audacieuse, magnifique, parfois étrange et surprenante, Shogun se découvre comme l’on explore un nouveau monde. Et si la chaîne FX, qui supervise la minisérie, envisage une deuxième saison, on peut affirmer sans se tromper que les 10 épisodes actuels se suffisent en eux-mêmes.
On termine le visionnement de cette minisérie en se demandant s’il n’aurait pas été plus sain d’étirer la sauce sur plus d’une saison, au lieu de largement tourner les coins ronds et nous offrir ces six épisodes avec des personnages largement unidimensionnels. A Man in Full, peut-être, mais une oeuvre télévisuelle grandement incomplète.