Brats plaira certainement à ceux et celles qui ont vécu cette époque où John Hugues et consorts régnaient en maîtres sur un box-office hollywoodien aux couleurs néon, malgré ce sentiment de ne pas en avoir eu pour notre creuse dent. Et pour les autres, trop vieux ou trop jeunes, il s’agit d’un portrait assez complet d’un phénomène populaire dont l’impact se fait encore sentir aujourd’hui.
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Inside Out 2 est donc un beau projet qui livre la marchandise, sans nécessairement la transcender, ce que le premier (oui, encore lui), faisait continuellement.
On voudrait tant que les produits Star Wars, qu’il s’agisse de films, de séries télé, ou encore de jeux vidéo, fonctionnent. On voudrait revivre cette époque bénie où l’on a découvert les aventures de Luke Skywalker et de ses amis. Ou même approfondir un univers complexe en examinant les implications morales d’une guerre de guérilla (rebonjour, fantastique Andor). Mais on nous sert plutôt du réchauffé inintéressant, avec The Acolyte. Quel gâchis.
Riche en images d’archives de toutes sortes, superbement monté, Jim Henson: Idea Man permet de mieux comprendre ce qui se cachait dans la tête de ce fantastique créateur. Cet artiste qui a transcendé son art pour tendre vers quelque chose de plus beau, tout en étant quasiment plus simple. À voir.
Fondamentalement, il n’y a rien de mal dans ces Tales of The Empire. Côté technique, l’animation est sans faute, avec même un niveau de détails que l’on ne voyait pas dans Clone Wars, à l’époque. Mais c’est du côté du scénario que le bât blesse. D’autant plus que sans écouter au moins trois autres séries différentes, on ne comprendra pas trop ce qui se déroule à l’écran. C’est franchement dommage.
X-Men’97 n’a pas la prétention de changer le monde. Tant mieux si le public en retire le message qu’il est important d’accepter les personnes qui sont différentes de soi. Mais il est aussi tout à fait possible de simplement profiter d’un produit télévisuel de qualité, à l’action frénétique, qui fait le pari de ramener l’une des grandes franchises d’animation de l’Âge d’or du genre.
La production d’un seul film hollywoodien entraîne le dégagement d’environ 3000 tonnes de CO2, soit l’équivalent d’effectuer 300 tours de la planète en voiture.
Jean-Philippe Guilbault et Hugo Prévost discutent de cette nouvelle proposition de Disney dans l’univers de Star Wars.
Bien fait, bien conçu, fort amusant et doté d’un aspect stratégique non négligeable, sans toutefois que celui-ci soit trop lourd, Star Wars: The Deckbuilding Game se mérite une forte recommandation, que ce soit pour les passionnés de cet univers, ou pour les simples amateurs.
Est-ce que The Bear est une bonne série? Tout dépend de la façon dont vous définissez le terme. Réaliste? Oui. Terriblement humaine? Absolument. Parfois fâchante, voire agressante, en raison des nombreux conflits et de la toxicité? Tout à fait. Mais on déplorera que la fin, si elle permet d’ouvrir la voie vers une deuxième saison, tient justement un peu trop du conte de fées pour son propre bien.