Disponible depuis la semaine dernière en Blu-ray, DVD et vidéo sur demande, la sixième saison de la très populaire série Game of Thrones ravira assurément les nombreux amateurs de la saga épique de George R.R. Martin.
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Avec le film Homo sapiens (2016) projeté le 19 novembre aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), le cinéaste autrichien Nikolaus Geyrhalter nous laisse méditer sur une succession d’images d’objets façonnés, de structures bâties et de scènes cristallisées dans la temporalité humaine en proie aux éléments de la nature.
Des gens qui disparaissent comme ça, sans bruit, sans laisser de traces. Des familles qui doivent vivre leur deuil sans pouvoir se recueillir sur la tombe de leurs proches. Et là-haut, au nord, un pays mystérieux qui enlève des ressortissants étrangers pour en tirer avantage.
À l’occasion de reconcevoir la présentation du musée sur le thème de l’engagement lors du colloque international Communicating the Museum (CTM) du 15 au 18 novembre dans la ville de Québec, force est de constater que l’approche humaniste n’a pas déserté le secteur des communications des institutions.
Il serait faux de prétendre que les groupes Daft Punk et Justice ne se ressemblent pas. Tous deux formés de Français issus du même courant musical (la French Touch), tous deux de solides représentants du monde de la musique électronique, et tous deux embarqués dans un retour progressif aux sources de leur art. Quant à savoir s’il s’agit d’un bon choix, bien malin sera celui qui saura trancher.
Les coming-of-age se font par milliers et si certains sont d’une justesse incroyable, on doit néanmoins s’en taper tout plein d’autres qui n’ont rien de neuf à nous dire. Le tout de même sympathique The Edge of Seventeen se tient entre les deux extrêmes, avec juste assez de piquant pour ne pas jeter l’éponge trop rapidement.
Jeune compagnie montréalaise créée en 2012 par Emmanuelle Lê Phan, canadienne et Elon Höglund, suédois, Tentacle Tribe présente sa nouvelle création dans le cadre de Danse Danse à la Place des Arts.
Matsuev est un habitué de l’OSM. On l’aura aperçu à quelques reprises sur les planches de la Maison symphonique ces dernières années, défendant la culture russe avec fougue et prestance. Hier soir ne faisait pas exception, car le pianiste émérite nous livra le sublime Concerto No. 2 de Prokofiev.
Sur le plateau, un jeune homme renfermé en pleine crise d’adolescence voue une étrange admiration aux morts-vivants. Selon lui, son travailleur humanitaire de père s’intéresserait davantage à lui s’il avait l’apparence morbide d’un zombie. Et pour les spectateurs, l’histoire du Garçon au visage disparu vient de commencer.
Une rupture amoureuse fait mal, plus souvent qu’autrement. Surtout quand les enfants du couple doivent apprendre à vivre en fonction de la nouvelle réalité où papa et maman font chambre, ou encore appartement à part.