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Encore une fois cette année, James Hyndman et Stéphane Lépine nous proposent des rendez-vous littéraires au Théâtre de Quat’sous, qui gagnent d’ailleurs toujours en popularité, comme en a pu témoigner la salle pleine à craquer qui s’est remplie lundi soir pour écouter les paroles de Fritz Zorn lues par le comédien.

La réputation de l’auteur Jean-Jacques Pelletier n’est plus à faire. Celui qui a accédé au rang sélect des auteurs québécois ayant fait leur marque dans le suspense et la littérature policière, entre autres avec la série rattachée à l’univers de La Chair disparue, récidive avec Bain de sang, une oeuvre qui se démarque peu de son style habituel. Pour le meilleur, et pour le pire. 

Vendredi dernier, à la Salle Bourgie du Musée des Beaux-Arts de Montréal, avait lieu le concert d’ouverture de la 10e édition du Festival Bach de Montréal. Était servi, en ouverture du festival, un Sergeï Babayan qui aurait très bien pu faire office de plat de résistance tant il a ébloui son public en étalant une palette de nuances plus large encore que ce qu’on aurait pu croire possible avec seulement un piano.

À l’occasion de reconcevoir la présentation du musée sur le thème de l’engagement lors du colloque international Communicating the Museum (CTM) du 15 au 18 novembre dans la ville de Québec, les participants étaient conviés à une visite du nouveau pavillon du Musée national des beaux-arts de Québec (MNBAQ) .

Les fans de la compagnie Virginie Brunelle attendaient avec impatience À la douleur que j’ai, sa plus récente création chorégraphique. Une série de teasers, dévoilés un à un sur la page Facebook de la compagnie pour nous faire languir depuis plus d’un mois, a été créée en collaboration avec le vidéaste Robin P. Gould.

Il y a de ces instants où l’on se dit que la musique transcende tout le reste; où l’interprétation d’un morceau est si parfaite, si juste, que l’on se prend à penser que la musique n’est plus une invention humaine, mais plutôt quelque chose d’intemporel, qui a toujours existé. Et mercredi soir, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) a offert l’un de ces moments.

La Chapelle Scènes Contemporaines se démarque très certainement par sa programmation audacieuse et expérimentale. Même dans le genre, le théâtre propose généralement des pièces qui viennent choquer (positivement ou négativement) le spectateur, avec son consentement et son approbation enthousiastes.