Hugo Prévost et Kevin Laforest se demandent si cette oeuvre d’Ali Abbasi mettant en vedette Sebastian Stan, Jeremy Strong et Maria Bakalova est suffisamment « réaliste » ou vindicative à propos de celui qui a encore des chances de redevenir président des États-Unis, en novembre prochain.
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Évoquant de par sa minutie ce qui se fait beaucoup ailleurs, comme par exemple la très poignante Mare of Easttown diffusée sur HBO, Veille sur moi est une série chaudement recommandée qui risque certainement de ne pas s’écouter dans l’indifférence et qui, on l’espère, pourra faire avancer les discussions. Parce que certains cycles mériteraient certainement d’être brisés.
Dankoroba (Disques Nuits d’Afrique) est né d’enregistrements et collaborations de Bamako à Montréal avec comme fil conducteur les « Sumusso » (les femmes en langue mandingue). Un son traditionnel et actuel grâce aux arrangements du réalisateur émérite Jean Massicotte, à qui l’on doit les albums Glee de Bran Van 3000 ou The Living Road de Lhassa de Sela, parmi tant d’autres.
Toute cette énergie mise ensemble, ces architectures savamment orchestrées, prouvent à quel point la danse contemporaine est un art qui n’a pas fini d’étonner les spectateurs.
Ultimement, A Sacrifice tente de bâtir sur des fondations scénaristiques qui non seulement chambranlantes, mais parfois carrément absentes. De quoi se demander si Mme Scott n’a pas voulu s’inspirer des belles années du cinéma paternel, alors que l’occasion était pourtant belle d’offrir quelque chose d’intéressant et de différent.
Avec son scénario mince et prévisible, Despicable Me 4 est sans doute le moins bon volet de la franchise, mais les nombreux inconditionnels de Gru et des Minions risquent tout de même d’apprécier le long-métrage grâce à ses personnages déjantés et à son humour bon enfant.
« Nous sommes très heureux de retrouver ce public qui a envie d’audace, qui a envie de prendre des risques. De notre côté, nous travaillons vraiment sur l’accessibilité des oeuvres, tant dans le choix des thématiques que du côté du prix des billets, par exemple. »
S’appuyant sur de bonnes bases, et avec quelques très bons moments – sans compter d’excellents interprètes –, Là où la poussière se dépose souffre malheureusement de deux tares. Non seulement l’expérience théâtrale est-elle phagocytée par l’importance accordée à la version audio de l’oeuvre, mais il faut aussi admettre que ce ne sont pas tous ces « moments » qui font mouche. C’est bien dommage…
Hugo Prévost et Kevin Laforest tentent de se dépêtrer de ce qui est certainement une oeuvre bordélique et surchargée.
Ultimement, Will and Harper est le récit d’une amitié. Une amitié vieille de près de 30 ans, avec des hauts et des bas, ainsi que de grandes transformations. Mais nonobstant ces changements, cette amitié est la preuve qu’il est certainement possible d’être là pour ceux qu’on aime, peu importe leur identité. Et cela, le documentaire le montre particulièrement bien. À voir.