Simón de la montaña demeure un film respectable, incomplet certes, moyens obligent, mais qui a certainement assez d’avenues intéressantes pour justifier qu’on ait décidé d’oser développer le tout sur 95 minutes, plutôt que dans un autre court-métrage.
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Avec ce premier tome, Franck Bonnet met la table pour une histoire de pirate sortant des sentiers battus, autant par son héroïne atypique que par son réalisme historique, et on a déjà hâte de reprendre la mer en compagnie d’Ann Bonny pour connaître la suite de ses aventures.
La danseuse Chi Long s’interroge sur son identité riche et plurielle dans le cadre d’un spectacle agréable, bien que parfois déroutant, avec de belles capsules chorégraphiées qu’on aurait voulu plus nombreuses.
Nous avons assisté à du grand cirque, absolument digne d’une 20e anniversaire, le tout avec les 7 doigts de la main, le même groupe qui avait inauguré la ToHu, à l’époque.
Smile 2 est une proposition aussi satisfaisante que surprenante, car c’est une suite qui justifie rapidement sa raison d’être en faisant preuve d’une audace qui va au-delà de l’opportunisme, ou de seulement refaire la même chose, mais en plus gros (et en plus gore), le budget ayant pratiquement doublé.
À ses heures très touchant, à d’autres moments particulièrement hilarant, voilà un film qui plaira au plus grand nombre. Certes, sa tendresse et sa douceur seront peut-être plus difficiles à apprivoiser pour les sceptiques, mais disons que la beauté triomphante de l’ensemble pourrait bien convaincre les plus récalcitrants.
Memoir of a Snail est un pur bijou de créativité, un hymne à la vie essentiel et une oeuvre intemporelle qui risque de marquer autant le temps que les mémoires.
Scénario, réalisation, maquillages, interprétation, A Nightmare on Elm Street n’a pas pris une ride, et se laisse regarder avec autant de plaisir aujourd’hui qu’au moment de sa sortie, il y a quarante ans. Tous les amateurs d’horreur seront heureux de pouvoir enfin revoir le classique dans une résolution inégalée jusqu’à présent grâce à cette version 4K.
Sans nécessairement être du même calibre expérimental comme un certain I’m Not There de Todd Haynes, ce Pavements est certainement une oeuvre unique à l’image de son sujet, c’est-à-dire d’une immense richesse. La preuve qu’il est encore possible de réinventer le documentaire, mais aussi de faire des choses qui sortent de l’ordinaire.
Pièce très vivante, pièce très physique, pièce drôle, pièce triste, pièce qui fait réfléchir… Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse est un gros morceau théâtral, le genre d’oeuvre qui sort du cadre et qui surprend. Quelque chose dont nous avons bien besoin, en ce moment.