« Nous ne sommes pas non plus dans un événement littéraire qui serait plus cérébral. Nous restons dans les corps, dans une façon de présenter les mises en lectures de façon très incarnée. C’est finalement bien plus grand public qu’on pourrait le penser. »
Browsing: culturel
L’oeuvre est une fierté de chez nous qui continue de fleurir et de faire battre nos coeurs; une série d’une qualité toujours aussi importante et qui risque de ravir les fidèles, tout en faisant le plein de nouveaux admirateurs.
« Nous voulons resolidifier la base; cette année est un peu une année d’originalité, d’inventivité, de faire plus avec moins. Assurément que nous pensons au 60e, le sujet revient régulièrement dans nos conversations, on essaie de voir la suite. Mais avant de penser à quel point cette suite pourrait avoir de l’envergure, il y a un besoin d’asseoir ce qui est déjà acquis. »
Bravant la docilité de la permanence, Papy Maurice Mbwiti se revendique « artiste tranchant ». Pas question pour lui de devenir une cuillère! Sa survie repose sur la poésie pour rendre la vie moins banale.
Nous ne sommes pas dans un colloque de philosophie ou de sociologie, mais dans une comédie théâtrale légère qui vient clore la saison du Rideau vert. Et dans le contexte, Chers parents répond à la demande, même si nous sommes loin des grands classiques.
Pas de changement de cap, donc, pour ce Fanny où England mêle toutes ses passions, des dérives de l’adolescence à une obsession pour les secrets et le milieu sportif.
Il n’y a rien de franchement mauvais, dans ce Mickey 17. Mais il n’y a rien de vraiment original, non plus. Rien de transcendant, certainement. Et de la part de celui qui nous a offert Snowpiercer et Parasite, c’est franchement dommage.
Les artistes contribuent à l’environnement sonore par leurs cris, le choc de leurs corps sur le sol, voire leurs chants collectifs sur le thème de la libération de l’oppression dictatoriale.
Franchement bien exécuté, fort bien réalisé et interprété, avec suffisamment de rebondissements pour nous garder largement dans le noir jusqu’à la fin, Black Bag est, à l’image du fameux sac, une zone mystérieuse fascinante de laquelle on tirera une série de révélations finales qui conclueront en beauté ce divertissement tout à fait efficace.
Il ne fait aucun doute que China Miéville prouve, encore une fois, sa grande maîtrise des codes littéraires, mais s’avère aussi – et surtout – capable de faire preuve de transgression, justement. Et de nous offrir un excellent roman au passage.