Browsing: culturel

Passagers, c’est le titre du spectacle des 7 doigts de la main qui est présenté à La Tohu, depuis le 14 novembre et jusqu’au 5 janvier prochain. S’il s’agit bien là d’un spectacle de cirque, où sont représentées pas moins de dix disciplines de l’art circassien, il s’agit aussi de danse, de théâtre, et de chant.

Le pouvoir féminin a toujours comporté quelque chose de plus complexe que le penchant masculin. Encore aujourd’hui, les femmes, qu’elles gouvernent ou non, sont jugées selon des normes plus strictes que leurs homologues disposant d’un pénis. Dans la pièce Souveraines, une oeuvre surprenante présentée au Théâtre de Quat’sous, l’auteure et comédienne Rose-Maïté Erkoreka explore cette dichotomie.

Sur une passerelle de mode d’un blanc immaculé, voire froid, sept actrices entrent en scène par une cabine d’essayage. Fuyant la tempête qui gronde à l’extérieur, elles trouvent refuge dans leur temple des cossins en quête des mêmes petits bonheurs. Dans ce lieu de culte, elles cherchent une sacoche, une robe, des pantoufles, une cafetière, un tournevis, bref n’importe quel objet pas trop cheap qui donnera un sens à leur vie, et elles tentent de composer du mieux qu’elles peuvent avec leurs angoisses existentielles.

Si notre souvenir de Wreck-It-Ralph est plus ou moins sympathique, il n’est certainement pas agréable au point d’en vouloir une suite. Néanmoins, lorsque l’on y retourne, ce premier volet n’atteignait certainement pas le niveau d’ennui et de facilité dont s’arme la suite, histoire de satisfaire sans effort les adultes en quête de références socio-culturelles actuelles.

Fortement populaire au Royaume-Uni, puis également encensée ailleurs sur la planète à la suite de sa mise en ligne sur Netflix, Bodyguard est une production en six épisodes mêlant terrorisme, syndrome post-traumatique, monoparentalité et espionnage. Le tout avec une bonne dose d’accent écossais.

Il serait déloyal de dire qu’on a déjà vu un film comme cette nouvelle mouture de Robin Hood. Pourtant l’impression de redite est loin d’être le plus grand souci de cette relecture qui ne veut pas seulement dépoussiérer le mythe, mais également le moderniser à outrance, histoire de séduire un public qu’on imagine plus jeune.

C’était la suite que l’on n’attendait pas vraiment. Après un premier remake plus inclusif de la série Rocky, voilà donc Creed 2, clone navrant et sans saveur de Rocky IV. À l’exception de quelques plans de caméra intéressants, l’oeuvre est un perte de temps monumentale.

Premier tome d’une prometteuse collection intitulée Les méchants de l’Histoire, l’album Dracula utilise la bande dessinée et l’humour noir pour raconter la vie de Vlad Dracul, l’homme dont le sadisme a inspiré le plus célèbre des vampires.