Depuis le temps, l’empire Disney connait son public mieux que jamais ce qui explique sans mal son enchaînement sans fin de succès. De toute façon, face à une recette éprouvée, la compagnie se contentera de dicter aux spectateurs ce dont ils auront envie, camouflant leur manque d’audace par une maîtrise technique époustouflante. C’est ainsi que Moana, leur plus récent « film de princesses » se contente de réchauffer le cœur, sans nécessairement trop travailler l’esprit.
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Relatant le difficile retour à la maison d’un soldat américain qui sera contraint de devenir tueur à gages, la série télévisée Quarry nous replonge dans l’Amérique de 1972, au plus fort de la guerre du Vietnam.
C’est dans la salle de répétition du théâtre Prospéro que Florent Siaud me reçoit pour une entrevue, juste avant la première médiatique de sa pièce. Il est pile à l’heure, mais s’excuse de son retard. Il faut dire qu’il doit être bien sollicité en ce moment. Je vous conseille de retenir son nom, car nous risquons d’en entendre énormément parler dans les prochaines années. Déjà bien connu en Europe et faisant sa marque dans le théâtre québécois depuis un moment déjà, Florent Siaud met en scène Don Juan revient de la guerre d’Odon Von Horvath présenté au Théâtre Prospéro jusqu’au 25 mars. Rencontre.
Odon Von Horvath n’est pas un auteur très monté au Québec. Cet auteur allemand d’après-guerre que l’on pourrait comparer à Büchner, Muller ou Brecht, ne semble pas trouver résonnance en Amérique. Pourtant, dans la salle du Théâtre Prospéro ce soir-là, tout le monde est à l’écoute.
Artiste visuel à la démarche résolument souverainiste, Simon Beaudry part de la capitale de la province et s’envole pour l’Écosse, deux semaines avant le référendum sur l’indépendance tenu là-bas en 2015. Cette visite, présentée sous la forme d’un road trip, est racontée dans le documentaire Yes, présenté dans le cadre des 35e Rendez-vous du cinéma québécois.
Camille Poliquin, alias Kroy, livrait jeudi soir son premier concert à Montréal après le lancement remarqué de son album solo Scavenger en septembre dernier.
Vendredi soir dernier, à la ToHu, était présenté le Gala de feu, qu’on qualifie de plus grand concours de performeurs de feu en Amérique du Nord. Contrairement à Montréal complètement cirque, qui présente au public les meilleurs numéros de cirque d’ici et d’ailleurs, le spectacle de ce soir-là se voulait une plateforme pour les nouveaux et les futurs talents. Car tout ce que nous avons pu voir ce soir-là n’était pas que talent pur, loin de là. Et tout ce que nous avons pu voir n’était pas nécessairement cirque non plus.
« Non! Je n’ai pas perdu mes racines ni été déracinée. Arrête de me fixer. Mon sang est épais et rouge comme le tien. Je fais partie d’une fusion culturelle. »
Table 19 possède à priori tout ce qu’il faut pour être un petit film indie autant charmant que gagnant. Pourtant, n’en déplaise à sa tendresse infinie propulsée par son excellente distribution, quelque chose cloche dans ce film qui finit par sonner faux.
Présenté au théâtre La Chapelle jusqu’au 3 mars, le spectacle IDIOT est le second d’une trilogie inspirée par le musicien américain Iggy Pop dont le premier album sorti en 1977 avait pour titre The Idiot. Créées par la chorégraphe Helen Simard en collaboration avec son équipe d’interprètes, ces pièces sont des hybrides entre concert rock et spectacle chorégraphique, des hommages à l’énergie brute et assumée du rockeur.