A lot has happened in the last decade. For starters, I had way more hair, Facebook was in the news for less nefarious reasons, and I was just still living with my parents. Let’s see….What else…. Oh yes. A trenchcoat clad Samuel L. Jackson said two simple words: “Avenger’s Initiative”. Does anyone remember how they felt when they heard those two words? I do, and they were magical and promising. My young brain couldn’t imagine the effect they would have.
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Le weekend dernier avait lieu un rassemblement artistique qui gagne en popularité au fil des ans: la Foire Papier, un des événements phares de l’Association des galeries d’art contemporain. Retour sur une 11e édition richissime en œuvres, échanges, rencontres et discussions de toutes sortes.
Le rapport au corps sous son côté le plus sombre: voilà ce qui attend les spectateurs de la pièce Déterrer les os, présentée à la salle Jean-Claude-Germain du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui.
Englouti sous la controverse et démoli avant même d’avoir pris l’affiche, le sympathique I Feel Pretty a des allures de comédie romantique conventionnelle, mais ce qu’il cache sous ses attraits est d’une bien plus grande importance, y déployant l’une des réflexions les plus justes et nécessaires sur l’estime de soi au 21e siècle.
Personne n’aime retrouver des pesticides dans son assiette. La publication le 10 avril d’un rapport annuel américain sur les fruits et légumes contenant « le plus de résidus de pesticides », qui a eu un bon écho dans les médias, y compris des médias francophones, a donc suscité une certaine inquiétude chez les consommateurs.
Affirmer que l’histoire politique et sociale de la Serbie est complexe relève de l’euphémisme pratiquement naïf. Et pourtant, c’est à partir de cet état de fait que la cinéaste Mila Turajlic déroule le tortueux fil des événements ayant ébranlé la Serbie et les pays avoisinants dans l’excellent documentaire L’envers d’une histoire, présenté mercredi 25 avril dans le cadre de la série RIDM+.
Claude Debussy se plaisait à donner des indications bien particulières dans ses partitions. Par exemple: très doux et délicatement expressif, un peu retenu (en conservant le rythme) ou, simplement cédez. Dans ses titres aussi, il savait passer la commande, orienter l’interprète et l’auditeur vers une image qu’il avait en tête, voire un film (muet à l’époque).
L’exposition Toujours la coquille de l’autre always the shell of another de l’artiste Celia Perrin Sidarous présentée à la galerie Parisian Laundry du 13 avril au 19 mai révèle une esthétique impeccable le temps d’une errance.
»Il ne faut pas chercher à comprendre. » dit le personnage interprété par Francis-William Rhéaume. Il s’agit ici d’un excellent conseil à suivre à la lettre par tous les spectateurs qui se jetteront dans la tornade des Secrets de la vérité, pièce présentée jusqu’au 28 avril au Théâtre Aux Écuries.
Largement inspiré du livre éponyme (et récit autobiographique considérablement exagéré) de Romain Gary paru en 1960, le film réalisé par Éric Barbier implique un colossal travail d’adaptation d’un roman dense, touffu et débridé.