L’Antarctique a été beaucoup moins étudié que l’Arctique au cours des dernières décennies. Résultat, autant on mesure mal l’impact de ces changements, autant les scientifiques ont du mal à mesurer la part de responsabilité qui revient aux variations naturelles et à l’activité humaine.
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Il est certain que dès qu’on touche à la photosynthèse, on touche au coeur même de ce qui soutient la vie végétale, et l’existence d’une « limite » qui ne serait peut-être pas si éloignée, oblige à nous questionner sur nos choix.
« Il est aussi facile que dangereux de sous-estimer les impacts des événements météo de plus en plus extrêmes. À mesure qu’ils s’intensifieront en vertu du réchauffement climatique, ils coïncideront avec des crises économiques non liées au climat, et cela représente une menace. »
Ces trois facteurs réunis restent « minoritaires » face au réchauffement climatique induit par l’humain, qui est à présent de l’ordre de 0,1 degré par décennie.
Lorsque les répondants ont été questionnés à propos de ce qui pourrait les pousser à s’engager dans du militantisme climatique, la colère a été citée le plus souvent, sept fois plus souvent que l’espoir, en fait, qui était la deuxième émotion la plus souvent évoquée.
« Si ces énormes incendies ont eu des impacts dévastateurs immédiats – des gens ont été tués, des maisons ont été détruites et un nombre incalculable d’animaux et d’habitats naturels ont été détruits, ils ont aussi eu un effet important sur des systèmes qui influencent le climat mondial. »
Il serait possible, affirme-t-on, d’économiser jusqu’à 40 % de café lors de la préparation d’un café filtre, ou encore jusqu’à 25 % de café en préparant de l’espresso.
En moyenne, les vaches faiblement émettrices produisaient environ 22 % de méthane en moins que les plus grandes émettrices, ce qui veut dire environ une centaine de kilogrammes de méthane par an, par vache, plutôt qu’environ 170.
Là où de telles canicules auraient été vouées à survenir une fois par siècle, on peut désormais s’attendre à les revivre une fois tous les 15 ans en Amérique du Nord, une fois tous les 10 ans en Europe et une fois tous les cinq ans en Chine.
« C’est comme un avertissement, comme le canari dans la mine. Il n’y a rien que nous puissions faire pour stopper des changements à si grande échelle. Mais le fait d’être au courant de ce phénomène nous aidera à mieux prévoir l’avenir. »