Browsing: colonialisme

Joe Sacco, l’inventeur du « BD-journalisme », lève le voile sur les ravages du colonialisme canadien avec Payer la terre, un album retraçant le difficile parcours des Dénés, un peuple autochtone des Territoires du Nord-Ouest.

Jean-Luc Cornette livre un conte poignant sur le véritable sens de la richesse et son inégale distribution avec La Perle, une bande dessinée adaptée du classique du même nom du Nobel de littérature John Steinbeck.

Il semblerait inadéquat de commencer une critique sur une pièce telle qu’Okinum sans d’abord faire une reconnaissance du territoire sur lequel oeuvre Pieuvre.ca. Pieuvre.ca se situe sur des territoires autochtones qui n’ont jamais été cédés, dont la nation Kanien’kehá: ka est reconnue comme gardienne des terres et des eaux. Tiohtiá:ke, autrement connu sous le nom de Montréal, reste un lieu historique de rassemblement pour plusieurs Premières Nations; aujourd’hui, c’est le lieu de résidence d’une population autochtone diversifiée et dynamique, ainsi que d’autres peuples.

Et si l’énergie sexuelle était une arme révolutionnaire pouvant balayer le capitalisme et l’ordre social? C’est précisément la prémisse de Pas tristes tropiques, une bande dessinée complètement déjantée de Clément Xavier et Maxime Jeune.

À l’aide de formes constitutionnelles diverses sur des territoires entiers sur plusieurs continents et océans, la France garde un contrôle sur les zones de son passé colonial par une présence militaire, l’emploi du français et une influence culturelle. Peut-on maintenir son passé colonial et régler les problèmes liés au racisme?

Dans la foulée du Brexit, un sondage YouGov révèle que 43% des Britanniques pensent que l’Empire était une «bonne chose» et que 44% sont fiers du colonialisme. Remettant en question cette entreprise, l’article du professeur de science politique à la Portland State University de l’Oregon, Bruce Gilley publié dans le journal académique Third World Quarterly a fait réagir le milieu universitaire, rapporte le l’écrivain basé à Londres Kenan Malik dans le New York Review of Books du 26 janvier.