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Il arrive parfois qu’à l’écoute d’un nouvel enregistrement d’une œuvre célèbre on ait l’impression d’avoir entendu la même chose un bon nombre de fois. Dans cette nouvelle parution des Nocturnes de Chopin, nous échappons heureusement à cette sensation.

C’est vendredi soir, à la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, que la mouture 2017 de l’Orchestre de la Francophonie donnait son ultime concert. Dans un véritable four, chauffé à plus de 30 degrés, les jeunes musiciens ont eu l’occasion de montrer l’ampleur de leurs talents dans un programme concocté à la dernière minute et pour lequel ils n’ont eu que très peu de temps pour répéter.

Ce samedi, le Domaine Forget, dans le cadre de son festival international, recevait la visite attendue du violoniste canadien James Ehnes et de l’Orchestre de la Francophonie (OF), sous la direction de Simon Rivard.

Le public de la Maison symphonique a été englouti sous une avalanche de notes mercredi soir dans le cadre d’un récital attendu du pianiste québécois Louis Lortie. Ainsi pourrait-on succinctement résumer ce concert-spectacle durant lequel le prodigieux pianiste, reconnu internationalement pour ses interprétations de l’œuvre de Chopin, nous aura tenus en haleine durant plus de deux heures.

Après avoir offert l’Œuvre pour cuivres de Gabriele aux mélomanes invités, le Maestro Kent Nagano et la direction de l’OSM ont dévoilé une programmation transcendante pour leur prochaine saison lors d’une conférence de presse à la Maison symphonique de Montréal mercredi dernier.

L’heure était aux expérimentations musicales à la Maison symphonique, alors que le violoniste bien connu Joshua Bell était de passage à Montréal pour non seulement tirer de superbes notes d’un Stradivarius vieux de plusieurs siècles, mais aussi pour jouer – partiellement – le rôle de chef d’orchestre.

Vendredi dernier, à la Salle Bourgie du Musée des Beaux-Arts de Montréal, avait lieu le concert d’ouverture de la 10e édition du Festival Bach de Montréal. Était servi, en ouverture du festival, un Sergeï Babayan qui aurait très bien pu faire office de plat de résistance tant il a ébloui son public en étalant une palette de nuances plus large encore que ce qu’on aurait pu croire possible avec seulement un piano.

Soirées d’amours incomprises et ultimement vouées à une fin glauque et sanglante, la semaine dernière à la Maison symphonique, alors que l’on donnait une série de morceaux choisis de Roméo et Juliette, de Prokofiev.