« Une consommation réduite des feuilles des arbres peut avoir des effets écologiques importants, puisque cela implique un moins grand nombre d’insectes herbivores, ce qui pourrait ensuite diminuer le nombre d’insectes prédateurs, d’oiseaux insectivores, et ainsi de suite. »
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En reconstruisant 12 000 ans d’histoire d’une zone représentative de ces forêts, une récente étude relève un étonnant parallèle entre les incendies de forêt contemporains et ceux survenus il y a 7000 ans.
Ces observations démontrent l’importance de mieux encadrer les activités humaines qui peuvent empirer la situation… puisqu’il est difficile de contrôler les plantes, remarquent les scientifiques.
Il est certain que dès qu’on touche à la photosynthèse, on touche au coeur même de ce qui soutient la vie végétale, et l’existence d’une « limite » qui ne serait peut-être pas si éloignée, oblige à nous questionner sur nos choix.
« L’idée est d’identifier les plus sensibles et vulnérables à ces hausses de chaleur dans les milieux résidentiels, pour faciliter les interventions de la santé publique et des urbanistes. »
Les historiens présument que le bois importé, à la différence du bois local ou du bois de grève, était réservé aux plus riches, pour la construction de leurs maisons ou de leurs bâtiments de ferme.
Il est difficile d’appliquer les estimations sur la température à l’ensemble des végétaux de la planète —les effets pourraient être très différents d’un écosystème à l’autre, et certains écosystèmes sont historiquement habitués à de plus grandes variations de température.
« L’adaptation des arbres aux changements est plus lente que la vitesse à laquelle surviennent les changements climatiques. Certains profitent des hivers doux mais pour que cela se répercute sur la croissance, c’est un casse-tête. »
Ce serait plutôt la petite taille du cerveau de l’oiseau de même que son orientation particulière dans la boîte crânienne qui diminuerait le risque de commotion.
Le réchauffement n’est pas linéaire: il se produit actuellement deux à trois fois plus vite dans l’Arctique que dans le reste du monde, avec un potentiel destructeur que les chercheurs ne peuvent pas estimer.