Il est possible qu’il ait gardé cette position dominante jusqu’à une époque relativement récente: en Amérique du Sud, on croit que l’espèce s’est éteinte il y a seulement 100 000 ans.
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Dans le cas du manchot, mises bout à bout, ces 10 000 et quelques siestes totalisent environ 11 heures de sommeil. Il n’est toutefois recommandé à aucun humain de tenter de les imiter…
L’Antarctique a été beaucoup moins étudié que l’Arctique au cours des dernières décennies. Résultat, autant on mesure mal l’impact de ces changements, autant les scientifiques ont du mal à mesurer la part de responsabilité qui revient aux variations naturelles et à l’activité humaine.
Le trou au-dessus de l’Antarctique atteignait déjà une taille de 3 millions de kilomètres carrés le 10 août dernier alors qu’il demeure habituellement fermé jusqu’à la fin du mois.
La tendance générale des glaces marines entourant l’Antarctique est globalement linéaire: des tendances à la hausse dans certaines régions compensent pour celles à la baisse ailleurs.
Ultimement, ce phénomène peut se répandre tout le long de la côte antarctique, en raison du courant, ce qui signifierait que la fonte s’accélère même à des milliers de kilomètres de l’endroit où le réchauffement se fait d’abord sentir.
South of the Circle se déroule dans un contexte fascinant, mais sa tendance à ne permettre une progression que lors de retours en arrière, dans le scénario, vient gâcher l’envie de découvrir les nombreuses fins offertes.
L’Antarctique sera l’un des « moteurs » de la hausse du niveau des océans, en raison de la fonte des glaces.
La hausse mondiale du niveau des océans associée au possible effondrement de la calotte glaciaire Ouest-Antarctique a été très largement sous-estimée dans le cadre de précédentes études, ce qui signifie que les océans, dans un monde plus chaud, atteindront des hauteurs plus importantes que prévu, selon une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université Harvard.
Une nouvelle technologie de prise de mesures développée à l’Université de Berne, en Allemagne, permet d’obtenir un aperçu inédit sur les conditions climatiques de notre lointain passé. Les concentrations en CO2 qui prévalaient dans l’atmosphère ont pu être reconstituées plus efficacement que jamais auparavant, grâce à mesures effectuées à l’aide de carottes de glace provenant de l’Antarctique. Le résultat de ces travaux publiés dans Science? La vitesse à laquelle nous rejetons ce puissant gaz à effet de serre dans l’atmosphère n’a pas d’équivalent dans l’Histoire. Enfin, pas depuis les 450 000 dernières années.