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« Sur le plan du comportement, ils auraient pu agir comme des chiens, puisqu’ils ont mangé le saumon offert par les humains. Mais sur le plan génétique, ils ne sont pas liés à quoi que ce soit que nous connaissons. »

Si le mercure libéré par la fonte du pergélisol n’est pas une menace environnementale majeure, pour l’instant, ses impacts s’accumulent avec le temps. Les risques d’exposition augmentent à mesure que le métal s’accumule dans la chaîne aimentaire, particulièrement via les poissons et le gibier consommés par les humains.

« Il semble possible que la glace océanique puisse avoir facilité les mouvements, plutôt que de les avoir entravés, en offrant une surface plus facilement traversable que le chemin accidenté formé de glaciers criblés de crevasses, ou encore si l’on doit pagayer contre de forts courants. »

Un dégel abrupt qui ne toucherait que 5% de l’Arctique se traduirait par au moins deux fois plus d’émissions de méthane que prévu, tout dépendant des portions du territoire où se produirait ce dégel. Gare aux sols qui sont gonflés par de la glace dure.

Cherchez l’erreur: en Alaska, parce que le pergélisol dégèle trop vite au goût de l’industrie pétrolière, celle-ci finance des entrepreneurs qui lui permettront de garder ce sol plus longtemps gelé, afin de pouvoir extraire plus de pétrole pendant plus longtemps.