Une critique récurrente émise par les sceptiques de la pandémie est que celle-ci aurait fait moins de morts que ne le prétend le bilan officiel, concluant du coup qu’il y aurait eu beaucoup de bruit pour rien. Le Détecteur de rumeurs explique ce qu’il en est du concept de « mortalité excédentaire ».
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Les données sont là-dessus de plus en plus claires: vous êtes beaucoup plus susceptibles d’attraper le virus SRAS-Cov-2 si vous passez beaucoup de temps à proximité d’une personne infectée, et de surcroît dans un espace clos.
Le coronavirus frappe plus fort les personnes âgées à la santé fragile — 80% des décès. Et autant le confinement que la distanciation sociale peuvent nuire à leur santé physique et mentale. Une récente étude franco-québécoise rappelle l’importance de l’activité physique dans ce contexte.
Les chats et les chiens peuvent-ils être contaminés et transmettre le virus? Des recherches récentes semblent confirmer qu’ils peuvent bel et bien contracter la COVID-19… mais ça ne veut pas dire qu’ils peuvent la transmettre. Le Détecteur de rumeurs a vérifié.
Il a beaucoup été question de l’approche de la Suède depuis le début de la pandémie. Sa gestion de la crise, assez unique, lui a valu de nombreuses critiques. S’agit-il d’un échec ou le verdict est-il encore à venir?
Alors que le Québec voit sa courbe de cas de coronavirus redescendre progressivement, les experts, comme partout ailleurs dans le monde, continuent de craindre une deuxième vague. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé quelle forme pourrait prendre cette vague… ou ces vagues.
Au moment où le Québec vit son déconfinement, plusieurs se demandent s’ils doivent vraiment garder leur distance des personnes qui ne sont pas malades. C’est ignorer qu’on peut transmettre le virus sans avoir de symptômes et que certaines personnes n’en développent jamais. Des explications.
Beaucoup d’Américains ont été soulagés ce mois-ci par les lignes directrices de leur Centre de contrôle des maladies (CDC): le coronavirus ne se transmet pas beaucoup par les surfaces des objets. Mais en réalité, il y avait longtemps que le CDC avait dit ça, et il n’y a pas réellement eu de changements dans ses lignes directrices.
Dès le début de l’épidémie de la COVID-19, les responsables de la Santé publique, au Québec comme ailleurs, ont insisté sur l’âge, comme facteur de risque. On a identifié les 70 ans et plus comme étant les plus susceptibles de subir des complications majeures, d’être hospitalisés aux soins intensifs et, éventuellement, d’en mourir… Mais l’âge n’est pas le seul facteur de risque.
La COVID-19 frappe encore mais déjà, des chercheurs s’attèlent à déterminer d’où viendra la prochaine. Prédire l’inévitable pourrait-il être un jour possible?