Mais avant d’espérer en arriver à l’humain — et c’est à supposer qu’on puisse même y arriver, le cerveau humain étant tout sauf statique— il faudra passer par un objectif plus « modeste », comme la souris.
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« Si vous voulez construire quelque chose sur la Lune, plutôt que de dépenser de fortes sommes pour que des gens s’en occupent, vous pourriez avoir des systèmes robotisés qui impriment des matériaux, avant de confier le tout aux microbes pour transformer le tout en quelque chose d’important. »
On trouvait dans le nord du Groenland, il y a 2 millions d’années, des épinettes, des aubépines et différentes fleurs — en tout, une centaine d’espèces de plantes, ainsi qu’on s’y attendrait dans une forêt, ou « un écosystème ».
Encore faut-il s’assurer que les actuels statuts de zones protégées ou d’aires protégées remplissent bel et bien leur fonction.
Le même brouillon de l’entente de cette année, publié en juin dernier, fixait aussi comme objectif pour les humains de vivre « en harmonie » avec la nature en 2050, une cible encore plus vague.
L’option la plus écologique reste le pelletage manuel. Et il est possible de restreindre davantage son impact carbone en pelletant avec un outil à neige en plastique recyclé.
Il s’agit d’un facteur méconnu du cycle de vie d’une forêt: certaines semences sont simplement emportées par le vent, mais les plus grosses ont besoin d’un « véhicule » pour être transportées plus loin.
Pourquoi n’aurait-on pas des algorithmes qui plongeraient dans des montagnes de données sur le cosmos pour en tirer des tendances cachées?
La question risque d’être sur le tapis pendant la COP15, surtout considérant la réputation mitigée acquise par le Canada ces dernières années, à la fois défenseur de l’environnement et producteur d’énergies fossiles.
Parmi les cibles identifiées dans le document de travail : protéger au moins 30 % des territoires à travers le monde d’ici 2030 — à l’heure actuelle, 15 % des terres et 7,5 % des océans sont protégés.