Night Ritualz est-il un album inoubliable? Non. Mais ce premier disque de l’artiste du même nom jette certainement les bases pour la suite des choses; en attendant, on peut certainement tamiser les lumières, s’installer confortablement et se laisser emporter par la musique…
Browsing: Culturel
L’oeuvre s’inspire de l’oeuvre millénaire de Sei Shonagon pour raconter une histoire mêlant poésie, calligraphie, érotisme… et un jeune Ewan McGregor.
En environ 75 minutes, Stolen Kingdom nous rappelle que Disney World n’est pas un endroit plus « magique » qu’un autre, mais n’est en fait qu’une autre représentation du capitalisme bien souvent sauvage. Il est fascinant, en fait, de voir que des gens sont prêts à payer des fortunes pour des biens qui, en soit, n’ont que peu ou pas de valeur. Un clash particulièrement intéressant entre cette réalité et la curiosité parfois pure. À voir.
Dans le cadre du 20e festival Les Casteliers, on nous propose le récit autobiographique de Mélanie Baillairgé sur le thème de l’eau, récit sollicité par Amélie Poirier, sa compagne de création.
La RTA permet de découvrir des oeuvres colorées, bigarrées, qui permettront, à coup sûr, aux jeunes de se retrouver dans la peau de ces divers personnages qui sont confrontés, eux aussi, à une bien drôle d’époque.
Constellée de moments fort bien choisis et interprétés, Créatures est une oeuvre plombée par un certain laissez-aller, un flou artistique, certes, mais surtout, ultimement, passablement ennuyant. C’est bien dommage…
Opus plaît donc, mais ne satisfait que moyennement, son appréciation dépendant d’à quel point les spectateurs voudront s’abandonner à une proposition aussi déconcertante.
Le réalisateur Serge Giguère parvient à montrer l’homme derrière le hockeyeur. Celui qui aura été à la fois le symbole d’un peuple et simplement un « bon gars ».
Même si ce recueil de nouvelles ne brille pas par son enthousiasme, son côté hop la vie, sa lecture a le pouvoir de faire du bien.
Oh, comme Richard-Hamelin survolait le clavier avec aisance, alors que Wan extirpait avec énergie tout l’âme de son Bergonzi de 1744 et que Mc Creesh dirigeait l’orchestre avec un empressement vif et sans lourdeur.