Le film n’est pas mauvais. Il est simplement… ordinaire. De quoi occuper une soirée en cherchant quelque chose sur Netflix, certainement.
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Les protagonistes sont là, ils existent, chacun avec ses joies, ses peines, ses désirs et ses craintes. Et l’ensemble clique, tout fonctionne.
Vania, Sonia, Macha… cela résonne comme des noms tout droits sortis des pièces de Tchekhov. C’est que les parents des trois protagonistes principaux de la pièce étaient un couple de professeurs amoureux de théâtre. Ils ont nommé leurs enfants en conséquence et leur ont peut-être insufflé du même coup quelque chose de la mélancolie de l’âme sombre du célèbre dramaturge.
Dépaysement assuré et réflexions intelligentes, le pari est réussi et remporté haut la main, pour cet artiste engagé et sensible.
Album bigarré, certainement. Album avec d’excellents titres, aussi. Mais album, en un sens, qui donne un peu l’impression, sans trop gâcher le plaisir, que les gars d’Australie avaient certaines chansons qui traînaient ici et là.
Doctor Strange in the Multiverse of Madness représente un certain miracle : soit d’arriver à ne rien faire de satisfaisant autant avec le talent réuni que les possibilités qui lui étaient offertes et ce, pratiquement sur un plateau d’argent.
La princesse du rythme est une porte ouverte sur l’existence d’une artiste que le temps a englouti. Une parmi tant d’autres, dans ce vaste groupe de gens qui ont connu le succès, oui, mais seulement pendant un temps.
Proposant un divertissement léger mais, très efficace, c’est avec beaucoup de plaisir que l’on déguste les deux premiers tomes de The Kong Crew.
Enora Rivière propose une oeuvre mystérieuse, à la fois simple et complexe, qui suscite presque davantage de question qu’elle n’en offre de réponses.
Les jeux du crépuscule sont un spectacle généreux, très bien pensé et réalisé, dont on sort avec l’envie d’aller vers l’autre et de profiter de toutes les richesses qu’il renferme, et en particulier s’il a accumulé un grand nombre d’années.