Avec ce polar teinté de fantastique, Éric Stalner, qui agit la plupart du temps comme dessinateur, montre qu’il a également beaucoup de talent en tant que scénariste, et grâce à son délectable duo, Bertille & Bertille pourrait bien être le début d’une série à succès.
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Le texte est jubilatoire. Le rythme accéléré mais limpide auquel le déclame Mathieu Arsenault donne le vertige, mais le rend pourtant parfaitement clair, drôle, plein d’ironie, d’autodérision, de lucidité et d’intelligence.
Pendant la trentaine de minutes que dure le morceau, on vibre aux performances des danses coordonnées, des rondes étourdissantes, des duos splendides et poétiques, des courses folles à travers la scène et sur cette terre battue et qui s’envole sous les pas et les sauts des danseurs.
Okinum est possiblement une oeuvre qui en dit plus, par ce qu’elle sous-entend, ou qu’elle ne montre pas, que par ce qu’elle présente à la face du monde.
Est-ce le meilleur film de ce genre? Sans doute pas. Mais pour éviter de se casser la tête en écoutant un long-métrage, pour être agréablement surpris par l’apparition d’acteurs et d’actrices que l’on n’attendait certainement pas là, et pour avoir sa dose de violence et de sang, Bullet Train est tout désigné.
Simple mais particulièrement efficace, Lolita n’existe pas réussit largement à atteindre son objectif, soit celui d’explorer ce mythe qui est toujours bien présent dans la culture populaire, et qui est encore très largement exploité à tort et à travers.
Avec un scénario trop prévisible, de l’humour au premier degré, des comédiens qui sonnent faux, mais des visuels absolument magnifiques, The Munsters est non seulement la moins réussie des réalisations de Rob Zombie à ce jour, mais aussi l’un des pires films de l’année.
Le charismatique maestro, Hervé Niquet, savoure visiblement chaque seconde de sa soirée et ce plaisir est contagieux et contamine toute la salle. Vivement une prochaine visite de ce grand musicien.
God’s Creatures n’est pas un mauvais film, loin de là. Le hic, en fait, ce que malgré une bonne distribution, une bonne musique et une très bonne direction photo, on a l’impression d’avoir vu ce scénario un nombre incalculable de fois.
Utilisant la fiction pour aborder des questions sociales brûlantes d’actualité, The White Lotus est un drame de mœurs amusant qui fait rire à l’occasion, mais qui donne surtout à réfléchir sur le racisme ordinaire se dissimulant parfois derrière le tourisme de luxe.