Pour chaque grande période de sa vie, on aurait pratiquement pu tirer un livre entier; pourquoi, alors, a-t-on droit à une suite d’événements racontés sans âme, sans passion, et en nommant quantité de gens au passage?
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Que trouve-t-on, vraiment, dans les profondeurs de ces propriétés que l’on loue pour une journée, ou pour une semaine? Premier long métrage du réalisateur Zach Cregger, Barbarian est une plongée dans les ténèbres et l’horreur, un voyage au bout de la peur et de la terreur.
Coupez! conserve les douceurs de l’oeuvre originale, tout comme son brio narratif, mais ne parvient à aucun moment à en transcender les très nombreuses possibilités.
The Day the Wild Cried est une performance chorégraphique où la danse participe à la musique. La danseuse par sa gestuelle ne suit pas seulement la musique de fond, elle y participe grâce à différents capteurs installés sur son corps.
Till demeure néanmoins un film qui mérite d’être vu, parce que ce genre d’histoires issues d’un passé malheureusement pas trop lointain devrait être enseigné à tous, autant dans les écoles que dans le quotidien et non évoquer l’indifférence, mais plutôt l’indignation.
Un certain resserrement scénaristique aurait effectivement été le bienvenu. Mais ne soyons pas fâchés; après tout, la colère mène au côté obscur de la Force!
Pour son premier film en langue anglaise, la réalisatrice néerlandaise Halina Reijn donne dans les codes du slasher avec Bodies Bodies Bodies. Mais le film cache bien d’autres niveaux de signification, au-delà de la simple violence gratuite.
Aussi instructif, mais moins rébarbatif, qu’une biographie conventionnelle, Poutine: L’ascension d’un dictateur est une lecture essentielle permettant de mieux comprendre la mégalomanie et la cruauté de cet homme, ainsi que la menace qu’il représente pour toutes les démocraties à travers la planète.
Le bureau de l’APA est à suivre dans ses propositions. Je parierais bien qu’on s’y amuse beaucoup au moment de la conception de ses spectacles, car ce plaisir est parfaitement ressenti lorsqu’on y assiste.
L’indécision du film, entre les gags un peu bon enfant et les enjeux plus sérieux, nuit au positionnement de l’oeuvre. Bien entendu, il existe des drames sur la cause LGBTQ+, mais on aurait aimé un peu plus de structure, ici. Peut-être pour mieux faire passer la « pilule »?