Berlin, 1949. Après la Deuxième Guerre mondiale, mais avant le pic de la Guerre froide. Avant le Mur, donc. Mais pour l’auteur Joseph Kanon, il s’agit-là de l’environnement idéal pour s’y faire affronter les personnages de son roman intitulé… hé bien, Berlin 49.
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Cette année, le OFFTA dédie une partie de sa programmation à la création autochtone. Au Monument National se joue Tsekan, des Productions Onishka fondées par Emilie Monnet.
La pièce de Jean-Philippe Baril Guérard, présentée dans le cadre du OFFTA, interroge la possibilité que les machines nous remplacent.
Whit Stillman est de retour! Et alors qu’il délaisse ses contemporains et son habitude de refléter l’époque dans laquelle il vit, il se permet également de ne pas nous faire attendre plus d’une décennie avant sa nouvelle offrande, retrouvant son rythme d’antan. Une bonne chose? Certainement, puisque visiblement, il semble inconcevable qu’on lui dise non!
François vit avec Mathilde, ils s’aiment et pourtant ça ne se passe pas bien entre eux. Manifestement Mathilde voudrait que François change. Elle lui demande d’être ce qu’il n’est pas et surtout ce qu’il n’a jamais été, pas même quand ils se sont rencontrés.
Chaque année, les spectacles des finissants de l’École nationale de cirque font dresser les poils des bras. Leur qualité et remarquable et les finissants circassiens sont emplis de fierté. C’est magnifique à voir, mais c’est surtout un spectacle à ne pas manquer.
Pour sa nouvelle création, la chorégraphe Ann Van den Broek a choisi un parti-pris radical: plonger la scène et ses danseurs dans un noir quasi complet, les éclairant seulement d’une lampe de poche.
Qui n’a pas été marqué par le regard perçant de la jeune fille afghane sur la page couverture du National Geographic ? La conférence du célèbre photographe Steve McCurry dans le cadre de son exposition du 27 mai au 30 juin à la Galerie Got de Montréal, a été l’occasion de revenir sur son parcours à travers le monde.
L’utilisation de la technologie numérique par les ingénieurs a influencé le travail des architectes par rapport à la conception de la forme et des contours du bâtiment, d’après l’exposition Archéologie du numérique présentée du 11 mai au 16 octobre au Centre canadien d’architecture (CCA). L’optimisation de la structure du bâtiment à l’aide de logiciels transforme la façon de travailler des ingénieurs et des architectes, a confié Michel Langlais-Parent, ingénieur en structure depuis neuf ans.
Il est difficile de trouver une meilleure représentation du mot échec que cette énième tentative de transformer quelque chose qui a attiré l’attention en une franchise qui rapporte. À tout le moins, voilà surtout une épatante façon de gâcher du talent, de l’argent et, pour bien rester en lien avec le thème mis en place: du temps.