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Mardi soir dernier à la salle Pierre-Mercure avait lieu le dernier spectacle de l’Orchestre de chambre McGill. Dans La Trilogie de la séduction, on nous présentait une mise en scène de la trilogie classique d’opéras de Mozart et Da Ponte : Così fan tutte, Don Giovanni et Le Nozze di Figaro. Une mise en scène chaleureuse, signée Alain Gauthier, nous met dans une ambiance intime permettant de faire ressortir toute la chaleur des voix des chanteurs dans une ambiance extérieure qui prêtait plutôt au verglas de l’âme.

C’était soir de fête à la Maison symphonique, mardi, alors que l’Orchestre du Festival de Budapest s’arrêtait dans la métropole le temps d’un concert.

Il est toujours délicat de se prononcer sur des EP: ces mini-albums contiennent d’habitude une poignée de pièces à partir desquelles il est difficile de dresser un portrait critique complet. Plus complet, enfin, que ce qu’il est possible de tirer de quatre ou cinq chansons envoyées en hâte aux journalistes culturels.

Dans le cadre de l’an 2 de sa présentation de l’Intégrale des cantates de Bach, l’Ensemble I Musici de Montréal, présentait le 19 décembre dernier, les trois premières cantates de l’Oratorio de Noël, sous la houlette du chef Jean-Marie Zeitouni. Pour l’occasion, l’ensemble était augmenté d’une dizaine de musiciens invités et du Chœur du Studio de musique ancienne de Montréal et, pour les besoins de l’œuvre, de Kimy McLaren, soprano, Mireille Lebel, alto, Frédéric Antoun, ténor et Steven Labrie, baryton.

Le 26 novembre dernier, à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau, on attendait la vedette du moment dans le petit monde de la musique classique au Québec, le pianiste Charles Richard-Hamelin, pour un récital tout Chopin. Et comme si c’était nécessaire, Françoise Davoine, animatrice à Radio-Canada, était là pour réchauffer la salle et nous redire à quel point le jeune et très talentueux pianiste faisait maintenant sensation à travers le monde et particulièrement en Pologne, patrie du génial compositeur.

L’Orchestre symphonique de Montréal poursuivait sa présentation de la neuvième édition du Festival Bach, jeudi soir à la Maison symphonique, alors que l’on nous avait préparé un pot-pourri rassemblant du Bach, bien sûr, mais aussi du Stravinsky et du Chostakovitch.

Pour la programmation du concert d’ouverture de la 9e édition du Festival Bach de Montréal, la directrice artistique et fondatrice du Festival, Alexandra Scheibler, a opté pour des valeurs sûres. Le Concerto no. 5 pour clavecin, cordes et basse continue, en fa mineur de Johann Sebastian Bach et le Concerto pour hautbois, cordes et basse continue, en ré mineur d’Alessandro Marcello ont toujours la faveur des mélomanes.

La maison Analekta étant toujours aussi prolixe dans ses publications, nous y allons ici d’un menu en trois services pour présenter des albums parus dans les dernières semaines.

Grand soir, mardi, à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) avait mis les petits plats dans les grands, et pour cause: on avait inscrit le Boléro de Ravel en tête d’affiche. 

Bien qu’il s’agisse de son neuvième album, Spring s’inscrit définitivement sous le signe du renouveau pour Susie Arioli, qui y révèle pour la première fois ses talents de compositrice. Pieuvre.ca a eu l’occasion de discuter de ce disque lancé la semaine dernière avec la pétillante chanteuse.