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On dit parfois que les pires idées sont souvent les meilleures. Et n’eut été de l’apport considérable du surdoué Matt Reeves, probablement que ce reboot devenu une trilogie distincte dans l’ancestrale franchise de Planet of the Apes n’aurait jamais eu droit au blockbuster le plus ambitieux et audacieux depuis belle lurette. Comme quoi, quand Hollywood nous livre avec surprise l’un des films les plus courageux de l’année, en plus d’être l’un des meilleurs, il ne faut surtout pas le rater.

With great power comes great responsibility. We all heard this in one way or another, whether it was from the dozens of cartoons, the handful of movies, and thousands of comics. This phrase cannot have more meaning than with the creation of this movie. When you mix an iconic character with two powerhouse movie studios, you can get a disastrous result. Who knew that we’d end up with a wonderful Spider-Man movie?

Drôle de foutoir que ce Once Upon a Time in Venice qui ne montre aucun scrupule à exhiber les différents grands films qu’il tente de pasticher, sans jamais parvenir à camoufler à quel point il est un mauvais film. Toutefois, c’est aussi la première fois depuis longtemps où l’on voit Bruce Willis avoir autant de plaisir, ce, encore une fois, un peu à nos dépens.

C’est tout? Seulement quatre épisodes? Le générique du quatrième – et dernier – épisode de la première saison de la télésérie Castlevania, diffusée sur Netflix, défile à l’écran, et voilà que l’on en voudrait plus. Beaucoup plus.

Disney Marvel veut les droits de Spider-Man depuis tellement longtemps déjà que maintenant qu’ils se sont enfin approprié le butin des mains de Sony, ils ont couru plus vite que leur ombre pour livrer un film qui anticipe le plaisir avant même d’avoir laissé le temps au spectateur de le ressentir. Après tout, quand ton film de superhéros débute avec la genèse de ton vilain de service, disons que cela en dit long sur là où résident les forces de ton entreprise.

Un été montréalais n’est pas complet sans le Festival Fantasia et sa programmation toujours plus éclectique et éclatée. Voilà donc que s’ébranlera, dans une semaine, la caravane cinématographique de l’événement. Cette année encore, les têtes d’affiche ne manquent pas… tout comme les étrangetés les plus surprenantes.

There was a time I never liked or even respected wrestling. I thought it was a weird over-the-top performance done by scarily proportioned people in colourful costumes. I preferred more intelligent and serious forms of entertainment, like comic books and video games. The hypocrisy was lost on me at that time.

Judd Apatow nous revient avec ce qui pourrait bien être sa production la plus délicate et sincère à ce jour, The Big Sick, permettant au brillant Kumail Nanjiani (dans son propre rôle, ou presque) d’enfin briller à la pleine hauteur de son talent. Se dévoile rapidement une comédie romantique au penchant dramatique aussi poignant qu’irrésistible.

Oh Baby. What a rush. It’s starting to seem that Edgar Wright can do no wrong. Baby Driver is more than the movie we hoped for, it’s the movie we never really expected to want, but got because we’ve been good this year.