Que vous soyez un amateur de longue date de Sean Connery ou que vous ayez découvert James Bond sous les traits d’un autre acteur, ce coffret permet de découvrir les origines cinématographiques du célèbre personnage, dans une qualité d’image jusqu’à présent inégalée. Il s’agit d’un must pour tous les fans de 007.
Malgré ces omissions, et si l’on ne souhaite pas consacrer quelques heures à la lecture de l’excellent Crazy Town: The Rob Ford Story, par la journaliste Robyn Doolittle, l’une des intervenantes du documentaire, Trainwreck: Mayor of Mayhem est un survol intéressant de l’une des pages les plus sombres (et carrément bizarres) de l’histoire politique canadienne.
Danny Boyle et Alex Garland refont équipe pour 28 YEARS LATER, le premier épisode d’une nouvelle trilogie se déroulant dans ce monde post-apocalyptique.
Paradoxalement, si le nombre de Québécois présents dans les salles de cinéma a diminué, de 2023 à 2024, le nombre de projections et de nouveautés, lui, poursuit sa hausse après la chute brutale de 2020.
Union ne révolutionne pas grand-chose. Mais pris dans son contexte plus large, c’est une nouvelle pierre à l’édifice des luttes ouvrières contre les mégacorporations sans âme qui détruisent lentement ce qui reste de social-démocrate dans un capitalisme déjanté, délétère et suicidaire. À voir.
Sous la direction de Dan Trachtenberg, qui a notamment réalisé l’excellent PREY, voilà une anthologie d’animation mettant en vedette trois combattants aux prises avec un prédateur.
Les amateurs de Jason Statham qui n’ont pas besoin d’une histoire élaborée pour prendre plaisir à le voir donner des raclées devraient trouver leur compte avec A Working Man, mais dans le genre, nous avons trouvé que The Beekeeper était beaucoup plus réussi.
Plus intéressé par le concept et la forme plutôt que son fond, The Life of Chuck nous présente un mystère qu’on sera peu intéressé à développer.
Près d’une quinzaine d’années après sa sortie, le film d’Abdellatif Kechiche mérite-t-il toujours les éloges obtenus, notamment sa Palme d’or à Cannes? Et que dire de ces fameuses scènes sulfureuses?
« Notre étude est aussi un rappel que ce à quoi nous exposons nos enfants – de façon intentionnelle ou non – a un impact profond, généralement plus souvent que nous ne le réalisons. »
