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À la lecture du dossier consacré au centenaire de la révolution bolchévique du Monde diplomatique, force est de constater que l’instauration de l’idéologie communiste en Russie a eu des effets bien au-delà de l’URSS.

C’est avec son tout dernier roman, Maxime, que Sarah-Maude Beauchesne clôt sa populaire trilogie. Entamée en 2014 avec Cœur de slush suivi de Lèche-vitrines, elle décide de mettre fin à un important chapitre de sa vie: celui de l’adolescence.

Dans le cadre de la série Possibles, qui se penche sur les éventuels développements culturels et sociaux des 25 prochaines années à Montréal, voilà que le Collectif Rien à cacher se penche sur les traces numériques des habitants de la métropole, le temps d’une performance présentée lundi soir dans le Vieux-Montréal.

D’abord présentée dans le cadre du Festival TransAmériques (FTA), ce printemps, l’oeuvre théâtrale Jusqu’où te mènera Montréal, lettre d’amour parfois un peu grinçante à la métropole, reprend l’affiche dès ce jeudi au théâtre aux Écuries dans le cadre de la série d’événements Vive 375. Pour l’occasion, rencontre avec Navet Confit, qui signe la trame musicale.

There is much to be said about a good Star Wars game. Lightning-fast action, some respect for the lore – as crazy as the lore can get -, and great graphics. Star Wars Battlefront 2 is all that, and even more. But as we gun down TIE Fighters in a flurry of laser beams, one thing remains clear: EA wants your money. Any way they can get it.

On ne savait honnêtement pas trop comment réagir à l’annonce d’une suite à Blade Runner. Comment, en effet, envisager un prolongement de l’histoire de l’un des très grands films cultes de la science-fiction, une oeuvre iconique, et ce 30 ans plus tard? Ce défi, le réalisateur Denis Villeneuve et son équipe le relèvent avec brio dans Blade Runner 2049, qui sans égaler le premier titre de la série (comment le pourrait-on?), n’en demeure pas moins une excellente oeuvre qui vient s’ajouter au matériau originel.

« Je ne m’abaisserai pas à de telles frivolités. » Voilà ce qu’a lancé mercredi le secrétaire d’État américain Rex Tillerson. Le chef de la diplomatie américaine avait convoqué la presse à la dernière minute à la Maison-Blanche, sans ajouter l’événement à l’horaire officiel, alimentant les rumeurs sur une possible démission.

Attendue depuis belle lurette, la vision du gouvernement fédéral à propos des industries culturelles et créatives à l’époque du numérique, finalement dévoilée jeudi, a suscité quelques réactions modérées, mais surtout des critiques dirigées à l’endroit de la ministre de Patrimoine canadien, Mélanie Joly.