Sea of Stars ne se contente pas d’être une lettre d’amour aux jeux de rôles de la vieille école, puisque les studios québécois Sabotage insufflent assez de personnalité à la formule pour livrer une expérience solide, qui sera même appréciée par ceux et celles n’ayant pas connu la grande époque des RPG en 16-bit.
Auteur/autrice : Patrick Robert
Fresque historique d’envergure, Une révolution nommée Raspoutine est une lecture fort instructive, qui permet d’en apprendre davantage sur le sulfureux personnage, mais aussi sur la Russie du début du vingtième siècle, déchirée entre les affres de la Première Guerre mondiale et la prise du pouvoir par les bolchéviques.
Avec ses relents de mysticisme et sa narration atypique, Le cerf aux bois de fer n’est peut-être pas une œuvre qui séduira un large public, mais ce roman graphique d’une grande beauté devrait toutefois charmer les amateurs d’art et de mythologie celtique par son approche très personnelle, et onirique.
Grâce aux nombreuses améliorations qu’il apporte à la formule, The Texas Chain Saw Massacre est sans aucun doute la meilleure expérience asymétrique à ce jour, et les inconditionnels de ce genre de titre (et du film de Tobe Hooper) sauront apprécier ce jeu d’horreur et de survie.
Pas besoin d’être parent pour apprécier Ceux qui me touchent, puisque tous ceux et celles qui ont mis de côté leurs rêves de jeunesse pour gagner leur croûte ou qui se sentent prisonniers d’un travail purement alimentaire se reconnaîtront dans ce récit aussi poignant qu’inspirant.
Asteroid City n’est peut-être pas le meilleur film de Wes Anderson, mais c’est assurément le plus bizarre. Il s’agit d’une œuvre unique et très personnelle, qui représente une bouffée de fraîcheur dans un monde où la majorité des productions cinématographiques reprennent les mêmes formules, et finissent trop souvent par se ressembler.
Loin de révolutionner le genre et se démarquant principalement par son mélange de western et de science-fiction, Dust & Neon est malgré tout un excellent « twin-stick shooter », saupoudré d’éléments de RPG et de « rogue-lite ». Grâce à ses mécaniques solides, ce titre sans prétention procurera aux joueurs une bonne dose de plaisir.
Même s’il ne s’agit pas du meilleur film de superhéros, The Flash vaut le visionnement, ne serait-ce que pour le grand retour de Michael Keaton dans le rôle de Batman. Quiconque est familier avec la culture populaire appréciera cette aventure, qui jette un regard à la fois familier et différent sur l’univers cinématographique de DC.
Noir burlesque montre un Enrico Marini au sommet de son art, tant au niveau du scénario que des dessins. Même ceux et celles qui n’ont jamais regardé de film noir de leur vie risquent d’apprécier ce polar inspiré, s’inscrivant dans la lignée de classiques comme The Spirit de Will Eisner ou le Sin City de Frank Miller.
Même s’il étire la sauce d’une franchise commençant sérieusement à s’essouffler, les inconditionnels de Fast & Furious retrouveront cependant tout ce qu’ils aiment dans Fast X, en autant qu’ils ne se formalisent pas du manque de conclusion, pour laquelle ils devront attendre l’inévitable onzième volet de la série.