Du 29 mai au 9 juin, à la TOHU, a lieu le spectacle des finissants de l’École nationale de cirque. Lors de la représentation du 30 mai, nous n’avons pas été très impressionnés. Ce n’était pas, et de loin, la meilleure mouture à laquelle nous avons pu assister. Cependant, la variété était au rendez-vous avec pas moins de 16 disciplines représentées. On nous en avait annoncé une 17e, la roue allemande, mais elle était finalement absente du programme.
Auteur/autrice : Martin Prévost
Samedi dernier, à l’église St-Jean-Baptiste, à Montréal, l’Orchestre à vent non identifié a fait salle comble avec son programme autour de la musique des films de la série Harry Potter. Pour l’occasion, le directeur musical Jonathan Dagenais s’était adjoint les services du chœur de St-Laurent pour la deuxième partie du programme.
Le 3 mai dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux arts de Montréal, l’Orchestre baroque Arion clôturait sa 38e saison montréalaise. Intitulé Musica notturna, le programme incluait des oeuvres créées sur un horizon de plus d’une centaine d’années, de Biber à Mozart, en passant par Vivaldi, Barsanti et Boccherini. Enrico Onofri était le soliste et chef invité. Armé de son violon, il a encore une fois mené à bon port l’orchestre qui commence à bien le connaître, puisque c’est sa quatrième collaboration avec Arion.
Le Festival international du Domaine Forget de Charlevoix nous a habitués à des programmations variées et de haut calibre et celle de la 41e édition ne fait pas exception. Au contraire, elle en rajoute une couche.
La semaine dernière, l’Orchestre symphonique de Montréal présentait les Rendez-vous Mozart, une programmation prestigieuse avec des invités de renommée variée, répartie sur quatre jours. Pour clore ces rendez-vous, ce vendredi, le chef invité Hervé Niquet était à la barre de l’OSM et de son chœur. Le programme était simple, mais prometteur: la Symphonie no 41 en do majeur K. 551 « Jupiter » et le Requiem en ré mineur K. 626.
Lundi dernier, à la Salle Bourgie, avait enfin lieu le concert Tchaïkovski et Tétreault avec l’Orchestre de chambre de McGill, sous la direction de Boris Brott. On aura deviné que le Tétreault du titre c’était Stéphane Tétreault, le violoncelliste québécois dont tout le monde parle, encore. Enfin, parce que le concert a dû être reporté de plusieurs semaines pour permettre au soliste invité de guérir d’une blessure à un doigt.
Le tout nouvel album de Mélisande McNabney, claveciniste, est paru chez ATMA Classique sous le numéro ACD2 2780 et s’appelle Inspirations. Il est le résultat d’un travail de recherche intéressant qui met en valeur des compositeurs moins connus comme Jean Henry D’Anglebert et Antoine Forqueray aux côtés du grand Jean-Philippe Rameau.
Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.
Sótt, le plus récent ouvrage du romancier islandais Ragnar Jonasson, paru aux Éditions de la Martinière, se déroule dans le nord profond de son pays d’origine, un lieu où pas grand-chose ne se passe, un endroit où les aurores boréales sont un phénomène habituel et où l’isolement ne peut manquer d’influer sur le comportement des gens.
Rare réflexion en français sur la littérature autochtone, Nous sommes des histoires, paraissait cet automne chez Mémoire d’encrier. Traduits de l’anglais (américain et canadien) par Jean-Pierre Pelletier, les quinze textes qui constituent cet ouvrage ont été recueillis et retenus par Marie-Hélène Jeannotte, Jonathan Lamy et Isabelle St-Amand.