Auteur/autrice : Jim Chartrand

Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

Les ambitions démesurées d’Alfonso Cuarón se font constamment sentir à mesure qu’elles grandissent, alors que sa filmographie, elle, s’épaissit. Cinq ans après l’époustouflant Gravity, il revient avec une proposition aux abords intimistes, mais qui ne fait que cacher quelque chose d’aussi immense qu’inoubliable, comme lui seul en a le secret.

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Avec l’irrésistible The Cabin in the Woods, Drew Goddard a donné naissance à un film culte qui avait pourtant bien failli ne jamais voir le jour. Six ans plus tard, il remet ça avec un fichtrement beau film qui n’est malheureusement pas aussi satisfaisant, n’en déplaise aux proportions encore démesurées des ambitions.

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Si sa carrière américaine a un peu eu l’effet de celle de Audrey Tautou, on est quand même ravi de revoir le toujours fort charismatique Omar Sy en terres françaises, qui rappelle que sa présence seule a tôt fait de l’emporter sur pratiquement tout. Le plutôt simpliste Knock l’aura vite compris et vous pourrez découvrir à quel point il en profite, maintenant que le film est disponible en DVD.

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Dan Fogelman touche finalement le fond du baril de ses déboires familiaux abracadabrants avec une proposition tellement tarabiscotée qu’on ne peut que soupirer et s’esclaffer au lieu de larmoyer comme il l’aurait souhaité. Life itself, c’est le côté sombre de la vie, dans tous les sens du terme.

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Il y a chez Samuel Thivierge un désir criant de faire du cinéma comme ses idoles. Si le résultat est plus souvent risible qu’autre chose, il faut saluer la détermination d’avoir pondu quelque chose qui bénéficie d’une signature distincte. Identités, son deuxième long-métrage dont il assure la production, la réalisation, la scénarisation et le premier rôle, témoigne des meilleurs comme des pires penchants du créateur.

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Revigorer un sujet et une thématique qu’on a remâchés ad nauseam n’est certainement pas chose facile. Toutefois, si l’on oublie les nombreux fils blancs qui servent autant que nuisent à ce captivant thriller, disons que sans changer le monde, Searching parvient sans mal à épater.

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À une époque où les productions irrévérencieuses gagnent du terrain et que la nostalgie est plus rentable que jamais, la proposition de The Happytime Murders était extrêmement prometteuse en cherchant à virer à l’envers nos souvenirs d’enfance les plus chers. Le résultat souffre toutefois d’un manque flagrant d’efforts qui a tôt fait de nous laisser un très mauvais goût en bouche.

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Après avoir envoûté la planète, et plus précisément l’Amérique, avec son spectacle Odysséo, Cavalia revient au bercail et s’installe pour la première fois à Montréal. Dommage, toutefois, que la ville en question en ait vu d’autres, et que cette production modeste ne sait pas toujours quoi faire de ses impressionnantes bêtes à quatre pattes à l’élégance monumentale.

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Incroyable, mais vrai: Mark Wahlberg et Peter Berg en sont déjà à leur quatrième collaboration avec l’un à la réalisation et l’autre au-devant de la caméra. Après avoir atteint un sommet fort intéressant avec l’ambitieux Patriot’s Day, ils retombent toutefois plus bas, avec Mile 22, dans un chaos dont on aimerait se déprendre bien plus rapidement qu’il ne nous en sort.

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