Avec si peu à dire, dépasser les deux heures s’avère trop long pour l’entreprise et que si l’on en a eu plein les yeux tout du long, on ne ressortira pas du visionnement avec grand-chose à en soutirer, malheureusement.
Auteur/autrice : Jim Chartrand
Au final, on est sortis énergisés et complètement repus d’une création aussi remarquable et satisfaisante. À ne pas manquer.
Au final, on regrettera donc que le film ne parviendra pas à développer un discours plus convainquant que de vouloir nous convaincre que les femmes ne vivent que via les hommes et trouvent seulement leur raisons d’être par le biais de leur présence dans leur vie.
Oppenheimer restera une expérience purement cinématographique et régulièrement captivante qui donnera envie de se replonger dans l’histoire, pour bien en comprendre tous les enjeux.
C’est cette beauté qui nous restera en tête et qui ne voudra plus nous quitter dans Asteroid City, possiblement l’un de ses plus beaux films depuis un moment, ce, sans jamais oublier d’être amusant.
On comprend pourquoi The Super Mario Bros. Movie fut et est toujours un succès aussi retentissant. Marchant en parfaite harmonie avec ce qui a fait le plus grand succès de l’entreprise Nintendo, s’assurant de satisfaire le plus grand nombre de fans et aidant certainement la vente déjà élevée de produits dérivés, à défaut de pouvoir participer, on se laisse prendre au jeu.
On garde quand même un souvenir lumineux de l’exercice qui éveille les sens à la différence, à la tolérance et à l’ouverture et qui finit par faire du bien, les mélodies aussi surprenantes que facilement reconnaissables de Thomas Newman en prime.
Cœur de slush déçoit pour bon nombre de raisons. On lui reprochera surtout, cependant, de ne pas avoir pu s’approprier de manière plus gagnante toutes ces belles opportunités qui se trouvaient sur sa route.
Ce The Little Mermaid est relativement dans la même veine que les autres relectures en prises de vue réelles, mais du côté des titres plus réussis, parce qu’on s’y plaît à plus d’un moment, majoritairement en raison de l’enthousiasme généré par l’ensemble.
Guardians of the Galaxy vol.3 est la marque évidente d’un créateur et probablement le meilleur exemple pour voir si on l’apprécie vraiment, au final. Le film est à mi-chemin entre la commande et son désir de finalement s’émanciper pour ce qu’il est vraiment, pour le meilleur et pour le pire.