Auteur/autrice : Jim Chartrand

Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

Abigail demeure donc compétent. Divertissant, aussi. Sauf qu’il ne faut pas trop en demander, il faut baisser les attentes (si celles-ci existent) et il faut considérer qu’au moment où chaque revirement a lieu, on risque rapidement de les oublier. Un no-brainer comme on dit, finalement, ce qui, quand on veut se changer les idées, n’est quand même pas trop de refus.

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Civil War est donc une œuvre forte qui a une intelligence supérieure aux films du genre, sans pour autant avoir ce je-ne-sais-quoi de plus pour l’élever vers quelque chose de plus mémorable. Il n’en demeure pas moins que dans son désir de nous faire vivre une expérience marquante, Garland y parvient avec grand succès.

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Au fil de scènes tantôt poétiques, tantôt émotives, tantôt amusantes, tantôt libératrices, tantôt inquiétantes et on en passe, au moment où le film semble prêt à livrer ses secrets vers son dernier tour de piste, voilà qu’au détour d’un habile virage scénaristique et d’une mise en scène virtuose, Haigh vient complètement brouiller toutes les pistes possibles.

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Close to You demeure un film nécessaire et actuel qu’on a voulu rassembleur, mais qui ne l’est qu’à moitié. Pour le public, il s’agit de savantes retrouvailles avec le talentueux Elliot Page, et mis à part quelques réflexions bien lancées, on regrettera que le discours post-transition manque de convictions.

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