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    Accueil»Science»Environnement»Les fourmis australiennes se préparent à « l’Armageddon des insectes »
    Face aux transformations climatiques, certaines espèces de fourmis semblent refuser de baisser les pattes et de disparaître.

    Les fourmis australiennes se préparent à « l’Armageddon des insectes »

    2
    Par Pieuvre.ca le 17 juillet 2019 Environnement

    Des chercheurs ont étudié des fourmis pendant 22 ans dans le désert de Simpson, en Australie, et ont découvert que les changements survenus dans le climat local, comme des augmentations à long terme des précipitations, combinés aux efforts des humains pour restaurer les écosystèmes, pourraient avoir mené à une augmentation du nombre d’espèces, contrairement aux déclins qui pourraient être attendus dans de telles conditions.

    La principale chercheuse en charge de l’étude, la professeure adjointe Heloise Gibb, a indiqué que les précipitations annuelles dans ce désert du nord de l’Australie variait entre 79 et 570 millimètres.

    « Si ce côté imprévisible des pluies est attendu dans un contexte de climat chaud, il s’agit de la première fois où nous avons pu comprendre la façon dont les insectes réagissent à de telles disparités dans leur environnement », a-t-elle déclaré.

    « Pour plusieurs espèces, cet aspect imprévisible, qui est exacerbé par les changements climatiques, équivaudrait à des conditions de survie de plus en plus difficiles. Ce que nous avons découvert, cependant, c’est qu’en contraste avec les avertissements à propos d’un déclin à long terme des insectes, des espèces déjà à l’aise avec des températures élevées pourraient mieux sans tirer lorsque les précipitations augmentent. »

    Toujours selon la professeure Gibb, des chercheurs ont constaté un « baby boom » chez les fourmis avec la dent sucrée à chaque fois que les précipitations augmentaient rapidement.

    « L’eau est le facteur qui permet de renforcer l’instinct de survie de cette espèce », a encore indiqué Mme Gibb.

    « Ces fourmis sont capables d’ajuster leurs heures d’activité pour ne sortir que lorsque les conditions sont acceptables à la surface. »

    Les chercheurs ont constaté que la croissance des populations de fourmis reflétaient les changements dans les quantités de ressources disponibles.

    « Après les pluies, les plantes poussent, fleurissent et répandent leurs graines, en plus de fournir du nectar et une source de nourriture pour d’autres invertébrés que mangent les fourmis », a précisé Mme Gibb.

    Des résultats similaires ont été obtenus avec d’autres espèces de fourmis vivant aux alentours, même si leur adaptation a été un peu plus lente.


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