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Spécialiste de la presse voyage et touristique, la maison d’édition Ulysse publiait récemment Randonnées de rêve – 50 itinéraires autour du monde. De quoi donner envie de se faire aller les mollets un peu partout sur la planète. À condition d’en avoir les moyens, bien entendu!

Chez Seuil vient de paraître la première traduction française du tout premier roman du regretté Henning Mankell. D’abord publié en 1973, sous le titre Bergsprängaren, Le dynamiteur annonçait, sans tambour ni trompette, la carrière prolifique de celui qui s’est beaucoup fait connaître par les enquêtes du commissaire Wallander.

Ils sont fiers. Et leurs proches sont certainement fiers, eux aussi. Mais en observant les finissants d’une nouvelle fournée de militaires tout juste sortis du Collègue militaire royal de Saint-Jean, dans le documentaire Premières armes, présenté dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), on ne peut s’empêcher d’éprouver davantage de fascination que de fierté.

À l’image de ses guerriers qui ont à la fois tout et rien à perdre, Netflix se lance tête première dans cette épopée clairement pensée pour le grand écran, prêt à la restreindre dans les limites de sa plate-forme. Pas de quoi trop s’en faire, puisque cette proposition ambitieuse n’est rien d’autre qu’un impressionnant désastre.

En compagnie du photographe Zach Baranowski, l’auteure Sarah-Émilie Nault trace le portrait du milieu montréalais du café dans un beau livre intitulé Caféine – Lieux et artisans d’ici. Le tout est publié chez Parfum d’encre.

L’amour, sous toutes ses coutures, a toujours été au centre du cinéma de Christophe Honoré, qu’il n’est plus nécessaire de présenter dans le milieu du cinéma français. Pourtant, l’homosexualité a toujours été beaucoup plus suggérée qu’entièrement assumée, et c’est après avoir lui-même exploré les capacités et les limites de son art qu’il a enfin décidé d’attaquer le sujet de plein front. En découle Plaire, aimer et courir vite, une œuvre imparfaite qui risque néanmoins de marquer les esprits.

Personne ne devrait avoir envie de rédiger la critique de la pièce Huff, récemment jouée à La Licorne. Non pas parce que l’oeuvre est mauvaise, bien au contraire, mais parce que l’on préférerait enterrer et oublier la réalité qui y est dépeinte.

La musique constitue un excellent miroir de la société, et l’évolution drastique du rock entre les années 1950 et 1970 reflète à merveille les remous et les bouleversements de cette époque trouble, que la bande dessinée Autel California nous permet de revivre.