Une piste de solution suggérée par les auteurs aux compagnies qui gèrent les réseaux sociaux: implanter des avertissements lorsqu’une personne s’apprête à partager un contenu sur lequel elle n’a pas cliqué. Ce serait une façon de « diminuer les liens partageant de la désinformation ».
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Chez l’Oncle Sam, ce sont à peine le tiers des participants (34%) qui ont une bonne opinion des réseaux sociaux. Vient ensuite la France, les Pays-Bas, l’Australie, la Belgique, le Canada et le Royaume-Uni, où l’on s’approche davantage de l’équilibre entre partisans et détracteurs de ces moyens de communication et d’échange dans un contexte politique.
C’est du côté des gens s’informant sur les médias sociaux que les résultats sont les moins bons: 53 % des participants passant par Snapchat pour connaître les plus récentes nouvelles ont obtenu un mauvais score. Truth Social, la plateforme liée à Donald Trump, est aussi synonyme de mauvais résultats lorsque vient le temps de départager le bon grain de l’ivraie journalistique.
Les chercheurs affirment que les réactions à la panne soulignent l’importance, pour les plateformes, de devoir se préparer à de tels événements.
Pour faciliter la communication entre utilisateurs, il faut repenser la façon dont les réseaux sont structurés, affirment des chercheurs, qui ont conçu un protocole en ce sens.
Des problèmes psychologiques au mauvais rendement, les réseaux sociaux sont accusés de mener à bien des maux.
« De l’histoire révisionniste »: le géant des réseaux sociaux Facebook condamne sans nuance la mégapoursuite intentée aux États-Unis par l’arbitre des transactions financières, la Federal Trade Commission, ainsi que par 40 États.
Les Facebook, Twitter et autres WhatsApp de ce monde censurent-ils les propos politiques en ligne? La question se pose, notamment aux États-Unis, où la notion de liberté d’expression a bien souvent le dos large, et où la prochaine élection présidentielle, dans un peu plus de deux mois, se joue notamment sur le terrain de la « censure » des points de vue conservateurs. Un récent sondage démontre d’ailleurs que la quasi-totalité des électeurs républicains américains croit que leurs idées sont censurées en ligne.
Déjà mal en point en raison de la lente érosion des revenus publicitaires, puis matraqués par la quasi-disparition des entrées d’argent en raison de la pandémie, voilà que les médias canadiens sont en plus affectés par l’effritement de la confiance du public envers la radio, les journaux, la télévision et les sites d’information, révèle la plus récente déclinaison canadienne du Digital News Report, publié par le Reuters Institute et l’Université Oxford.