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L’ampleur des destructions, cette année, fait toutefois craindre un risque de sous-estimation, notait récemment le New York Times: le très grand nombre d’édifices détruits signifie que des centaines, voire des milliers de personnes, pourraient être toujours enterrées sous les décombres.

De plus, indiquent les chercheurs, ce qui est décrit comme de la violence à sens unique, où les civils sont visés, a aussi pris de l’ampleur en 2022. Au moins 11 800 civils ont été tués lors de ces violences intentionnelles et ciblées qui ont été menées par 45 États ou groupes organisés différents.

« La plupart des pertes civiles ont été provoquées par l’utilisation d’armes explosives à grand rayon d’impact, y compris le bombardement à l’aide de l’artillerie lourde, les lance-roquettes, ainsi que les frappes à l’aide de missiles et de bombes larguées par des avions. »

Une critique récurrente émise par les sceptiques de la pandémie est que celle-ci aurait fait moins de morts que ne le prétend le bilan officiel, concluant du coup qu’il y aurait eu beaucoup de bruit pour rien. Le Détecteur de rumeurs explique ce qu’il en est du concept de « mortalité excédentaire ».

Dès le début de l’épidémie de la COVID-19, les responsables de la Santé publique, au Québec comme ailleurs, ont insisté sur l’âge, comme facteur de risque. On a identifié les 70 ans et plus comme étant les plus susceptibles de subir des complications majeures, d’être hospitalisés aux soins intensifs et, éventuellement, d’en mourir… Mais l’âge n’est pas le seul facteur de risque.

Lorsque le volcan mexicain El Chichón a fait éruption en 1982, il a dévasté une zone de plusieurs kilomètres, fait 3500 victimes, mais aussi perturbé le climat. Il n’a pas été le seul: le Pinatubo, aux Philippines, a connu une série d’éruptions tout aussi dévastatrices en 1991 qui ont marqué la planète de manière durable.

Vingt-quatre heures après avoir touché le continent, l’ouragan avait déjà fait plus de 300 blessés, après avoir laissé plus de 60 morts dans son sillage. Il ne s’agit pas de celui qui a frappé la Caroline du Nord, et dont parlent tous les médias nord-américains, mais de celui qui, après avoir traversé les Philippines vendredi, a frappé la côte chinoise dimanche.