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Il y a 30 ans tombait le Mur de Berlin, et avec lui, le symbole de l’emprise de l’Union soviétique et du communisme sur une bonne partie du monde. Aujourd’hui, les pays qui se trouvaient autrefois enfermés dans le rideau de fer ont évolué, mais tous les citoyens européens ne sont pas entièrement satisfaits de la situation géo-politico-économique actuelle, révèle une grande enquête effectuée par le Pew Research Center.

Si aujourd’hui la Chine occupe la place de seconde superpuissance, les guerres en Ukraine et en Syrie, ainsi que «l’affaire du Russiagate», évoquent toujours le rapport de force de la guerre froide. Avec le documentaire Meeting Gorbachev (2018), le cinéaste allemand Werner Herzog s’entretient avec le dernier président de l’Union des républiques socialistes soviétiques (1990-1991), Mikhaïl Gorbatchev.

Quel est le coût du mensonge? Plus de 30 ans après la véritable tragédie qui coûta la vie à un nombre inconnu de personnes, Chernobyl, une minisérie diffusée sur la chaîne HBO, établit une nouvelle norme en matière de qualité, d’écriture, de jeu d’acteurs et d’attention aux détails.

Trois ans: il aura fallu trois ans (et des poussières) pour que la copie de Twilight Struggle, achetée sur un coup de tête après avoir lu des critiques dithyrambiques sur internet, serve enfin lors d’une toute première partie. Il est triste, dans un sens, que tant de temps se soit écoulé avant d’essayer un jeu qui révèle rapidement l’intérêt suscité parmi les amateurs de stratégie et de titres forçant l’utilisation de ses neurones.

La dictature de Joseph Staline (1878-1953) en Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) a été l’une des plus horribles de l’histoire de l’humanité. Le film franco-britannique The Death of Stalin (2017) coécrit et réalisé par Armando Iannucci aborde les lendemains incertains de ce règne entre comédie et tragédie.

À la lecture du dossier consacré au centenaire de la révolution bolchévique du Monde diplomatique, force est de constater que l’instauration de l’idéologie communiste en Russie a eu des effets bien au-delà de l’URSS.

Avec le film Homo sapiens (2016) projeté le 19 novembre aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), le cinéaste autrichien Nikolaus Geyrhalter nous laisse méditer sur une succession d’images d’objets façonnés, de structures bâties et de scènes cristallisées dans la temporalité humaine en proie aux éléments de la nature.

Dans la taïga, des hommes lancés à la poursuite d’un criminel échappé d’un goulag stalinien. Mais dans cette taïga, justement, dans cet Archipel d’une autre vie, le véritable bandit ne serait pas l’évadé, mais plutôt les soldats désirant lui mettre la main au collet.

Berlin, 1949. Après la Deuxième Guerre mondiale, mais avant le pic de la Guerre froide. Avant le Mur, donc. Mais pour l’auteur Joseph Kanon, il s’agit-là de l’environnement idéal pour s’y faire affronter les personnages de son roman intitulé… hé bien, Berlin 49.