L’exceptionnalisme américain se transpose jusque dans ces cauchemars mêlant urbanisme, politique et usure des infrastructures.
Navigation : transport collectif
Le gouvernement fédéral devra verser 2,5 milliards d’euros d’aide financière en compensation aux autorités locales qui gèrent ces transports en commun.
« Les seules occasions où le SRB nuit à la valeur foncière sont lorsque les stations sont entourées de stationnements. Cela signifie que les stations ne sont pas accessibles à pied, et ne sont donc pas bien intégrées au sein de la ville. »
Ce lent retour vers la normale des transports collectifs risque d’être mis à mal par la cinquième vague de contamination, suite à l’apparition du variant Omicron.
La taxe sur le carburant, principal outil de financement des investissements routiers, est appelée à se tarir, ce qui force la mise en place de nouvelles mesures.
À 45 ans bien sonnés, le Stade olympique est toujours bien solide sur ses fondations, et représente même une part importante du patrimoine urbain de la métropole.
Près de 50 millions de déplacements ont été observés en mai, soit 106 millions de voyages en moins par rapport à la même période, en 2019.
Il n’y a pas qu’au Québec où la COVID-19 a profondément transformé l’utilisation des services de transport collectif: une nouvelle étude révèle que l’impact de la pandémie est aussi franchement surprenant aux États-Unis.
Forte hausse de l’offre en matière de transport collectif, réduction de la proportion de déplacements en voiture, le tout sur un horizon de 10 ans seulement: l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) voit grand pour la région métropolitaine de Montréal.
Voies cyclables et piétonnières, terrasses dans les rues: ces changements sont-ils temporaires ou si la pandémie de coronavirus changera pour de bon le visage des villes? Le Détecteur de rumeurs a examiné comment les pandémies passées avaient influencé la planification urbaine.