Trouveront-ils ultimement réponse à la grande question existentielle: « Comment fait-on pour se sentir vivant ? » Pour ce faire, nos quatre protagonistes devront d’abord traverser l’enfer, en ce bas monde. Rien de moins.
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La poétesse et romancière danoise Olga Ravn est à l’origine de la pièce proposée au Prospero. Son roman Les employés a été traduit en français et adapté en pièce de théâtre dans une mise en scène ambitieuse et très originale.
Si on enlève l’aspect désagréable, que reste-t-il de Poings? De bons dialogues, en fait, surtout deux monologues, ou plutôt, un monologue et un monologue à deux voix, où la réalité et les réflexions s’entrecroisent pour donner un résultat percutant.
« Ce n’est pas un film, mais nous allons puiser dans cet imaginaire-là pour créer quelque chose qui est très théâtral, au final. »
Ce qu’il faut retenir, c’est que l’homme semble avoir réussi sa vie, non seulement en fondant une famille, mais aussi en utilisant ses propres expériences pour en tirer une création théâtrale époustouflante. Que demander de plus, dans ce cas?
Entre une figure paternelle qui n’en a plus pour longtemps, et la mystérieuse personne qu’est son père biologique, Jodie est déchirée. Et la voilà qui rejoue les road trips de Kerouac pour tenter d’y voir plus clair.
Quels sont les piliers de la vie adulte, au juste? Acheter une maison? Se marier? Faire des enfants? Installer une piscine hors terre? Consommer, simplement?
Une planète bouleversée, une civilisation affaiblie par la maladie et les divisions, mais aussi une volonté de corriger le tir, d’améliorer les choses: voilà l’ambiance plus que particulière dans laquelle navigue la déclinaison 2020 de Territoires de paroles, en collaboration avec le théâtre Prospero.. Rencontre avec Carmen Jolin, directrice artistique de ce méta-événement théâtral.
Dans une chambre face à la mer, un homme reçoit une femme, toutes les nuits. Du moins, il aurait pu la recevoir. Le texte de Duras raconte ces rendez-vous hors du temps, comme on ravive un souvenir ou un fantasme. L’adaptation à deux voix de La maladie de la mort, par Martine Beaulne, met en scène cette rencontre possible, au théâtre Prospero.
Une piscine, des enfants qui apprennent à nager, deux maîtres-nageurs sympathiques et une directrice consciencieuse, des parents soucieux du bien-être de leur progéniture. Le cadre de la pièce de l’auteur catalan Josep Maria Miró, présentée au théâtre Prospero, est issu de la vie ordinaire.