Pour sa troisième génération de thermostat intelligent, Mysa propose un appareil plus petit, ce qui est un avantage, mais l’application mobile semble entraîner quelques problèmes de connexion avec un téléphone intelligent.
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ChatGPT pourrait-il remplacer les réviseurs humains? C’est ce qu’ont voulu tester des chercheurs dirigés par James Zou, expert en apprentissage-machine à l’Université Stanford, en Californie.
Sans nouvelles précipitations pour remplir l’aquifère et sans accès à de l’eau en surface, l’absence d’eau a ultimement entraîné la chute de l’Empire garamante. Ce peuple sert d’avertissement en ce qui concerne le pouvoir de l’eau souterraine comme ressource naturelle, et le danger de sa surutilisation
L’écart le plus significatif est entre ces deux derniers groupes: 75 % de ceux qui utilisent déjà l’IA dans leurs recherches (excluant les experts en IA) jugent que l’outil va devenir « essentiel » ou « très important », contre 42 % de ceux qui n’utilisent pas l’IA.
Une attaque Poltergeist pourrait faire « disparaître » un objet, y compris une personne ou une autre voiture, poussant le véhicule à continuer d’avancer et ainsi foncer dans cet « objet » rendu invisible.
Puisqu’il s’agirait d’aider à prendre des décisions politiques, des enjeux délicats s’ajoutent: les « conseils » de l’IA pourraient-ils être influencés par les intentions de ceux qui l’ont programmée?
Les chercheurs précisent que cette solution mise de l’avant a l’avantage de s’appuyer sur une technologie déjà existante. Après tout, des clients peuvent téléverser une photo d’eux en ligne pour essayer des styles de lunettes de soleil, ou encore essayer virtuellement des vêtements, entre autres exemples.
« Les conclusions de notre étude soulignent l’impact négatif de l’exposition à des images sexualisées, ce qui est une part croissante des réseaux sociaux, de nos jours, et qui entraîne une multiplication des comparaisons sociales à ce genre d’images. »
À cause du mode même de fonctionnement de l’IA, qui consiste à la nourrir d’immenses bases de données, ces biais reflètent ceux qui, conscients ou inconscients, existent dans notre société, se retrouvent donc dans ces bases de données, et chez les programmeurs.
Les auteurs de l’étude espèrent que leurs travaux mèneront à une conversation plus vaste permettant d’établir des normes éthiques et un cadre réglementaire en ce qui concerne l’utilisation de l’IA en recherche et en éducation.