Les amateurs de musique électronique avaient rendez-vous au Théâtre Berri, vendredi soir, alors que l’un des maîtres du darksynth, le Français Carpenter Brut, installait ses claviers, ses platines et sa batterie pour une autre étape de sa tournée nord-américaine.
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Camille Poliquin, alias Kroy, livrait jeudi soir son premier concert à Montréal après le lancement remarqué de son album solo Scavenger en septembre dernier.
Vendredi soir dernier, à la ToHu, était présenté le Gala de feu, qu’on qualifie de plus grand concours de performeurs de feu en Amérique du Nord. Contrairement à Montréal complètement cirque, qui présente au public les meilleurs numéros de cirque d’ici et d’ailleurs, le spectacle de ce soir-là se voulait une plateforme pour les nouveaux et les futurs talents. Car tout ce que nous avons pu voir ce soir-là n’était pas que talent pur, loin de là. Et tout ce que nous avons pu voir n’était pas nécessairement cirque non plus.
Présenté au théâtre La Chapelle jusqu’au 3 mars, le spectacle IDIOT est le second d’une trilogie inspirée par le musicien américain Iggy Pop dont le premier album sorti en 1977 avait pour titre The Idiot. Créées par la chorégraphe Helen Simard en collaboration avec son équipe d’interprètes, ces pièces sont des hybrides entre concert rock et spectacle chorégraphique, des hommages à l’énergie brute et assumée du rockeur.
Dans le cadre de la Série des Premières de l’Ensemble Arion, ces concerts plus courts et sans entracte du jeudi, c’est à une soirée aux effluves français à laquelle était convié le public, ce 16 février, à la Salle Bourgie.
C’est mardi dernier qu’avait lieu le lancement de la programmation 2017 d’Espace pour la vie. L’événement, qui a pris place au cœur du Planétarium Rio Tinto Alcan, se voulait le coup d’envoi d’une année consacrée à la célébration de la vie et d’une nature à la fois énigmatique, essentielle et éphémère.
La Batsheva Dance Company est venue présenter au public montréalais Last Work, oeuvre du chorégraphe résident et directeur artistique de la compagnie, Ohad Naharin. Le public montréalais a pu se familiariser avec le travail du célèbre chorégraphe et de la compagnie israélienne qui en est à sa troisième visite depuis 2004.
Tout a commencé avec Un, Deux et Trois, une trilogie sur l’identité personnelle et collective. Puis, vinrent Ils étaient quatre et Cinq à sept, deux pièces qui parlent de rencontres, de vie d’adulte et d’amitié. Mani Soleymanlou présente donc la finale de ce cycle d’écriture, 8, jusqu’au 28 janvier à la Cinquième salle de la Place des arts.
L’OSM poursuit ces jours-ci un marathon de quatre concerts en trois jours sur le thème de la musique minimaliste dans lequel des compositeurs de ce courant musical sont jumelés à une l’un des symphonies de Haydn. Après Ravel, joué mardi soir, c’était le tour du compositeur Philip Glass ce mercredi soir.
« La poupée matérialise un antagonisme dramatique, celui d’un corps qui fait le lien entre l’érotisme et la mort. » La conceptrice Gisèle Vienne écrit ces mots dans le programme de la pièce de théâtre Jerk, donnant ainsi une signification lourde et troublante à des jouets d’enfant. C’est que Jerk, solo de marionnettiste, raconte l’histoire de Dean Corll, un tueur en série qui était reconnu pour offrir des bonbons aux enfants.