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Parler d’indépendance du Québec, mais autrement. La députée indépendante Catherine Fournier, qui avait claqué la porte du Parti québécois, au printemps 2019, en affirmant que la formation autrefois dirigée par René Lévesque n’était plus le véhicule idéal pour faire du Québec un pays, apporte une nouvelle pierre à son édifice souverainiste avec la publication du manifeste de son projet Ambition Québec.

Sous l’appellation Wexit, les Québécois profiteurs d’une redistribution injuste des richesses à l’échelle canadienne se sont métamorphosés en modèle collectif pour atteindre l’indépendance. L’Alberta et la Saskatchewan, désignées comme l’Ouest, ont-elles ce qu’il faut pour y arriver?

Près d’une semaine après le début de la campagne électorale fédérale, le Parti vert rêve-t-il encore de former le prochain gouvernement? Pour Daniel Green, chef adjoint des verts et candidat dans Outremont, cette course politique ne doit avoir qu’un but: mettre sur pied un gouvernement capable de s’attaquer à la crise climatique.

« N’ayez pas peur », peut-on lire sur la tombe du défunt leader souverainiste Jacques Parizeau. Il n’est donc pas étonnant que dans son essai publié chez Atelier 10, la maison d’édition du magazine Nouveau Projet, que Jean-Martin Aussant ait choisi la phrase Résister à l’imposture des peurs comme sous-titre.

Artiste visuel à la démarche résolument souverainiste, Simon Beaudry part de la capitale de la province et s’envole pour l’Écosse, deux semaines avant le référendum sur l’indépendance tenu là-bas en 2015. Cette visite, présentée sous la forme d’un road trip, est racontée dans le documentaire Yes, présenté dans le cadre des 35e Rendez-vous du cinéma québécois.

La chute du mur de Berlin symbolise, encore aujourd’hui, l’ouverture du monde. Pourtant, depuis un quart de siècle, le monde se referme. Il existerait près de 40 000 km de frontières murées, par exemple la lumineuse frontière fortifiée qui sépare l’Inde du Pakistan.

Arrivé en sauveur, il n’aura en fait été qu’un messie temporaire. L’homme d’affaires Pierre Karl Péladeau a annoncé lundi qu’il quittait définitivement son poste de chef du Parti québécois, pratiquement deux ans jour pour jour après sa première élection comme député de Saint-Jérôme.