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The Marvels amuse par sa légèreté et sa facilité comme un bon blockbuster inoffensif devrait toujours le faire. Rapidement, bien sûr, on se fait rappeler que la saucisse fait partie de la grosse machine (la scène de mi-générique causera à égalité l’exaspération et l’excitation), mais au moins on aura ri et on aura eu du plaisir, ce qui était loin d’être toujours le cas, maintenant, quand on mentionnait Marvel.

Pour le deuxième épisode de Rembobinage offert en primeur aux abonnés Patreon, Hugo Prévost et Kevin Laforest se commandent un Royale with cheese (ou un Big Kahuna burger, c’est selon) et s’attaquent à un monstre sacré.

Disponible cette semaine en 4K, Blu-ray et DVD, Shaft, le plus récent chapitre de la franchise de « blacksploitation », réunit pas moins de trois générations du célèbre héros afro-américain dans une même intrigue policière.

Samuel L. Jackson avait-il besoin de menue monnaie pour aller faire des courses? Voilà qu’on nous assène Shaft, un semblant de redémarrage de la série télé des années 1970 et du film du début des années 2000, avec pour résultat un film aussi beige que sa distribution principale est noire.

Ils se détestent plus que tout, mais devront faire équipe malgré eux. Une prémisse connue et remâchée une fois de plus pour donner un nouveau terrain de jeu à deux acteurs qui n’ont plus besoin de présentation. The Hitman’s Bodyguard divertit, mais aurait pu et aurait dû être bien plus, de quoi lui donner le meilleur statut pour les sorties DVD, histoire de ne pas trop regretter sa fin de soirée, avec quelques rires en prime.

Ah qu’il est cool! Ah qu’il est rythmé! Oui, The Hitman’s Bodyguard arrive à point pour terminer l’été du bon pied. Le hic? Ça ne fonctionne malheureusement pas à plein régime parce que tous les éléments, efficaces individuellement, clochent indubitablement lorsque mis côte à côte.

Il y a des cinéastes au style si particulier que leur œuvre porte une signature qui ne peut que leur convenir. L’indomptable Quentin Tarantino en fait partie et livre indubitablement un film dont lui seul peut en être l’auteur avec son époustouflant The Hateful Eight, une proposition claustrophobique et hivernale qui pousse étonnamment plus loin les plus belles folies de son incorrigible audace.