Franchement original, autant de par son contexte que par les réflexions que suscite l’oeuvre, A Murder of Crows on the Wall est un roman tout à fait intéressant qui a sa place dans toute bonne bibliothèque qui se respecte. Espérons que l’auteur trouvera rapidement un éditeur.
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Caligula possède bien des qualités cinématographiques. Et il est même possible d’avancer l’argument selon lequel il est tout à fait approprié de vouloir créer une oeuvre construisant une ambiance, une atmosphère, plutôt que d’offrir un point de vue beaucoup plus terre à terre, par exemple avec des considérations sociales ou politiques. Cela étant dit, le film n’évolue jamais au-delà de cette prémisse. Ironiquement, d’ailleurs, il s’agit d’une oeuvre à la fois trop longue et trop courte. En l’état, Caligula est certainement du cinéma, mais certainement pas un bon film.
Si le passé des autres peuples victimes de crises similaires doit servir de leçon, la vitesse à laquelle le pays réagira sera déterminante sur la temps qu’il lui faudra pour surmonter la crise — ou ne pas la surmonter.
« Le fait de générer des signatures génétiques pour ces anciens rats noirs révèle à quel point le fonctionnement des populations des humains et des rats noirs sont similaires. »
Les mathématiques pourraient expliquer les différents facteurs derrière les différentes étapes de la vie des anciens dirigeants de Rome.
La découverte d’un corps dans un fossé, par des travailleurs de la construction près du village de Great Casterton, dans la région britannique des Midlands, jette un nouvel éclairage sur l’esclavage pratiqué par les Romains au Royaume-Uni. Une nouvelle analyse du squelette et de la façon de l’enterrer a révélé que le corps était probablement celui d’un esclave mort au 3e siècle de notre ère.
Entre une âme noire et l’absence d’âme, y a-t-il une différence? Voilà la triste question qu’on peut se poser à la lecture du plus récent roman de Pierre Adrian, Les bons garçons, quatrième opus de l’auteur à paraître aux Éditions Équateurs.
Sur les planches du Théâtre du Nouveau Monde, le metteur en scène Robert Lepage propose une adaptation à la fois classique et contemporaine de Coriolan, drame intemporel de nul autre que William Shakespeare.
La Rome antique n’a jamais été tendre, et ses luttes de pouvoir, doublées de relations amoureuses bien souvent sulfureuses, ont fréquemment donné lieu à de sanglantes trahisons qui ont éclaboussé de vermeil le pourpre du pouvoir impérial. Titus, adapté de la pièce de Shakespeare, donne vie à ces conflits fratricides s’étant trop souvent réglés avec un couteau bien aiguisé.
Le récent opus de Carlo Bonini et Giancarlo De Cataldo, paru aux Éditions Métailié, dans la collection Noir, s’intitule Rome brûle. Si on devait résumer l’intrigue, on pourrait dire qu’il s’agit d’une transposition du phénomène québécois de la corruption et de la collusion dans le secteur de la construction, dans le même milieu en Italie, et plus précisément à Rome.