Les « deepfakes », ou vidéos truquées, continuent d’engendrer plus d’inquiétudes que de réels impacts. Ils n’ont joué aucun rôle notable dans la dernière élection américaine — et les données jusqu’ici tendent à croire qu’ils ne seraient pas plus efficaces, pour tromper les gens, que des contenus beaucoup plus simples à produire.
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Malgré toutes les mesures pour contrer le harcèlement en ligne, le problème continuerait de prendre de l’ampleur, indique une récente étude réalisée aux États-Unis. Et la même étude révèle aussi que 4 internautes sur 10 sont aux prises avec des trolls et d’autres individus peu recommandables.
Des comtés qui ont voté très fort pour Trump et qui s’avèrent aussi être ceux où la pandémie a frappé le plus fort. Des groupes antivaccins qui, sur les réseaux sociaux, rallient des parents simplement inquiets. Des parents simplement inquiets qui s’enferment dans un discours hostile contre les médecins.
À partir de la websérie Béton, les artistes Marylou Belugou et Rosalie Bordeleau convient le public à des échanges à la fois libérateurs et passionnants.
« De l’histoire révisionniste »: le géant des réseaux sociaux Facebook condamne sans nuance la mégapoursuite intentée aux États-Unis par l’arbitre des transactions financières, la Federal Trade Commission, ainsi que par 40 États.
Les médias vont mal, ici comme ailleurs; cela est connu, documenté, mentionné, souligné, voire archi souligné… Il n’est pas étonnant, donc, que les essais tentant de décortiquer la crise des médias se multiplient, avec tout autant de solutions. L’animatrice et productrice télé et radio Marie-France Bazzo ne fait pas exception à la règle, avec la parution récente de Nous méritons mieux, aux éditions du Boréal.
Un effort coordonné sur Twitter visant à influencer l’élection présidentielle américaine du 3 novembre, en utilisant des trolls et des comptes disposant d’une très forte visibilité, a pour but de semer la discorde, exacerber les divisions politique et saper la confiance envers la démocratie américaine, selon une nouvelle étude de la RAND Corportation. Et ce pourrait bien être le Kremlin qui est derrière tout cela.
Les temps sont durs pour les journalistes. En plus de devoir compenser les pertes de revenus croissantes attribuées aux médias sociaux et aux confinements successifs provoqués par la COVID-19, voilà que cette même pandémie alimente le sentiment anti-journaliste au sein d’une certaine frange de la population.
On lui prête des intentions parfois malveillantes, ou du moins un désintéressement néfaste; ses pratiques commerciales font grincer des dents, notamment quand les créateurs sont confrontés à des changements soudains et coûteux. Et pourtant, lorsque vient le temps de s’informer, YouTube pourrait servir « d’égalisateur » pour les diverses plateformes médiatiques, révèle un récent sondage.
Les Facebook, Twitter et autres WhatsApp de ce monde censurent-ils les propos politiques en ligne? La question se pose, notamment aux États-Unis, où la notion de liberté d’expression a bien souvent le dos large, et où la prochaine élection présidentielle, dans un peu plus de deux mois, se joue notamment sur le terrain de la « censure » des points de vue conservateurs. Un récent sondage démontre d’ailleurs que la quasi-totalité des électeurs républicains américains croit que leurs idées sont censurées en ligne.