Sur Twitter (aujourd’hui appelé X), « la communauté dénialiste produit ou relaie 3,5 fois plus de messages toxiques » (définis comme « des obscénités, des insultes, des menaces, des attaques sur le genre ou la religion »)
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Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
On est devant des groupes qui, pour défendre leur idéologie, ont désormais un intérêt personnel ou politique à miner la légitimité des régimes démocratiques. Et la désinformation les sert bien —avec un coup de pouce des algorithmes des réseaux sociaux.
« Plus que jamais, le journalisme nécessite un socle éthique solide et largement reconnu. Avec nos partenaires, nous appelons les journalistes, médias et rédactions du monde entier à s’approprier ces principes, à les proclamer, et à les décliner dans leurs pratiques. »
À défaut de nous écouter, on sait par contre, et depuis longtemps, que les appareils électroniques sont à l’affut d’ultrasons pour mieux envoyer de la publicité.
Dans la dernière année, dans la foulée de la mise à pied des équipes chargées de la modération des contenus sur Twitter, plusieurs analyses avaient démontré une montée en flèche de la désinformation, y compris en science, et des propos haineux.
Comme le rappelle le journal britannique The Guardian le 11 octobre, la Russie est connue des experts pour avoir utilisé X pour diffuser de la désinformation, et les événements des derniers jours laissent croire « qu’elle semble avoir capitalisé sur le conflit israélo-palestinien ».
« Les conclusions de notre étude soulignent l’impact négatif de l’exposition à des images sexualisées, ce qui est une part croissante des réseaux sociaux, de nos jours, et qui entraîne une multiplication des comparaisons sociales à ce genre d’images. »
« Les personnes fortement motivées à trouver et partager des contenus antivaccins ne font donc qu’utiliser le système de la façon dont il a été conçu, ce qui vient compliquer le fait d’équilibrer ces comportements par rapport aux enjeux de santé publique ou de sécurité. »
Sur son site, elle annonce ses services de « coach holistique » pour des contrats individuels « de 3, 6 ou 12 mois », avec un investissement minimal de 2500 $ par mois.