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Limiter le réchauffement planétaire sous les 2 degrés Celsius nécessite une économie mondiale sans émissions carbone d’ici 2050 au plus tard, et donc une transformation en profondeur des méthodes de production d’énergie et d’utilisation des sols à l’échelle mondiale. Une équipe interdisciplinaire a exploré certains mécanismes qui pourraient déclencher cette grande transition vers une économie verte et vidée de ses émissions de GES… avant qu’il ne soit trop tard.

Le géant de l’informatique de Redmont veut se mettre au vert: Microsoft a annoncé jeudi son intention d’amener son bilan carbone à « zéro » d’ici 10 ans. Mieux encore, affirme l’entreprise, en utilisant des méthodes de captation des émissions polluantes et en améliorant son efficacité énergétique, Microsoft sera en mesure, d’ici 2050, « d’annuler son bilan carbone entier, depuis sa fondation en 1975 ».

Les compagnies aériennes pourraient-elles devenir plus « vertes »? Ça risque d’être difficile pour elles, mais chose certaine, elles ont un intérêt économique à essayer, parce que dans certains pays, l’impact du militantisme écologiste sur les voyages en avion pourrait être en train de se faire sentir. 

Vous n’avez probablement jamais entendu parler d’une grenouille des arbres appelée Ecnomiohyla rabborum. Mais elle est l’une des 467 espèces animales déclarées officiellement disparues pendant la dernière décennie. 

Pour la plupart des gens, la cause est entendue: la Chine est à présent le plus gros pollueur de la planète, ayant surclassé les États-Unis. Mais la Chine a contre elle le fait qu’elle est aussi le pays le plus peuplé de la planète. Si on calcule plutôt la pollution par tête, qui gagne le championnat?

Le rapport qui, la semaine dernière, a confirmé que la quantité de gaz à effet de serre dans l’atmosphère continue de croître et ne montre aucun signe d’approcher un sommet, contenait une seule bonne nouvelle: le charbon est à la baisse. 

Le climat nordique nous pousse à saler les routes en hiver afin de les rendre sécuritaires. Un déversement qui se poursuit souvent l’été pour limiter la poussière des voies les plus fréquentées. Or, depuis de nombreuses années, les chercheurs ciblent ces sels d’épandage comme étant nocifs, non seulement pour les écosystèmes des bords des routes, mais aussi pour les milieux humides.

La planète ira en s’appauvrissant en raison des changements climatiques: selon un rapport publié par The Economist, dans à peine 30 ans, l’économie mondiale aura diminué de 3% sous les projections de base des spécialistes des suites des conséquences des transformations de notre environnement.

Certains seront surpris d’apprendre que l’agriculture biologique utilise aussi des pesticides dits « naturels ». Quelle est la différence entre ce type de produit et les pesticides conventionnels? Le Détecteur de rumeurs répond à cette question.