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    Accueil»Science»Environnement»Bonnes et (surtout) mauvaises nouvelles en biodiversité
    La grenouille Ecnomiohyla rabborum fait partie des espèces disparues au cours de la dernière décennie.

    Bonnes et (surtout) mauvaises nouvelles en biodiversité

    0
    Par Agence Science-Presse le 12 décembre 2019 Environnement

    Vous n’avez probablement jamais entendu parler d’une grenouille des arbres appelée Ecnomiohyla rabborum. Mais elle est l’une des 467 espèces animales déclarées officiellement disparues pendant la dernière décennie. 

    La grenouille en question vivait tout en haut des arbres et pouvait « planer » de branche en branche. Elle a été observée officiellement pour la première fois en 2005, mais était déjà classée « en danger critique d’extinction » en 2009 par l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), à qui on doit par ailleurs cette compilation des 467 espèces déclarées disparues. Il est possible que certaines d’entre elles soient en réalité éteintes depuis plus de 10 ans, et que le constat n’ait été apposé sur leur nom que tardivement. Et il est probable que beaucoup d’autres espèces n’ont jamais même été observées avant que leur dernier individu ne soit disparu. Le dernier représentant connu de Ecnomiohyla rabborum, lui, a terminé sa vie au zoo d’Atlanta.

    La plus proche estimation provient d’un organisme sous l’égide des Nations Unies appelé Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES): selon son rapport publié en mai dernier, il y aurait un million d’espèces actuellement à risque d’extinction, dont 40% de toutes les espèces d’amphibiens, 33% de celles de coraux et 10% des espèces d’insectes. L’IPBES a également produit un tableau qui rappelle que, aussi approximatives que soient ces évaluations, le rythme d’extinction s’est dramatiquement accéléré depuis un siècle.

    En parallèle, pendant la même période, les connaissances acquises sur le fonctionnement des écosystèmes ont elles aussi grossi de façon exponentielle, au point où il est beaucoup plus facile qu’avant de nommer les actions qui seraient nécessaires pour sauver telle espèce, ou tel groupe d’espèces (protéger tel territoire de l’étalement urbain, des routes, de l’agriculture ou de la déforestation). Et l’histoire récente a démontré que ces actions pouvaient bel et bien extirper des animaux du statut d’espèce menacée (aux États-Unis, on donne généralement en exemple l’aigle à tête chauve et le grizzly). Dans son dernier rapport, publié cette semaine, l’IUCN nomme — au milieu d’informations globalement beaucoup plus sombres — 10 espèces dont le statut s’est amélioré dans sa « Liste rouge ». Mais en général, note le journaliste scientifique Brian Resnick dans Vox, c’est la politique qui entre en conflit avec ces actions — ou un manque de volonté politique.


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