Night Ritualz est-il un album inoubliable? Non. Mais ce premier disque de l’artiste du même nom jette certainement les bases pour la suite des choses; en attendant, on peut certainement tamiser les lumières, s’installer confortablement et se laisser emporter par la musique…
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À la suite de l’écoute de ce Voyage d’Héliodore, on se réveille donc, en quelque sorte, après l’équivalent d’un voyage dans les étoiles, pour retrouver la beauté et la douceur de notre existence. La preuve, s’il en est, que cet album est une oeuvre qu’il est particulièrement agréable de découvrir et de visiter encore et encore.
Il n’y aura sans doute plus jamais de mégaclaque comme a pu l’être Cross, le premier album qui a tout cassé – ou encore ce Phantom Part 2 démentiel, sur A Cross The Universe – et permis à Justice de s’imposer dans la foulée de Daft Punk, qui était déjà sur le départ. Mais on se prend malgré tout à espérer que les prochains disques seront non seulement proposés plus rapidement, mais auront aussi davantage de coeur au ventre qu’Hyperdrama.
Il ne fait aucun doute que The Silver Cord fait partie des disques les plus aboutis, les plus complets du groupe. Création musicale aussi difficile à saisir que rocambolesque, cet album est à classer parmi ceux qui finissent par essouffler les mélomanes, tant ils sont exigeants.
Le concert de dimanche aura prouvé que Tangerine Dream peut effectivement continuer sans son fondateur. Cependant, il demeure que quelque chose s’est perdu en chemin.
Ce disque permet de constater qu’il existe bel et bien une façon (un peu) différente de raconter une grande histoire, le tout sur fond de synthétiseurs, de néons et de combats contre les puissances maléfiques peuplant l’univers.
Tout n’est pas sombre, dans ce disque Closure qui, malgré son titre, ne représente peut-être pas tant une fermeture, ou la fin de quelque chose, mais plutôt une transformation vers autre chose.
Leather Terror est bigarré, différent, audacieux par moments, un peu ennuyant par d’autres. Il ne fait aucun doute, cependant, que Carpenter Brut essaye de nouvelles choses, explore de nouvelles avenues.
Reborn est davantage une transformation qu’un grand retour. Le genre d’album qu’il faudra écouter à plusieurs reprises pour en saisir toutes les subtilités.
Made in Timeland occupe une place à part dans le panthéon musicale du groupe australien; une oeuvre majeure, mais sortant aussi à un point tel de l’ordinaire qu’elle échappe à la logique traditionnelle.